Montélimar et la Grande guerre (1914-1924). La vie à l'arrière

Par : Marylène Marcel-Ponthier
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  • Nombre de pages510
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.14 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,8 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-9517053-6-4
  • EAN9782951705364
  • Date de parution01/10/2018
  • ÉditeurMarylène Marcel-Ponthier
  • PréfacierFranck Reynier

Résumé

Elle relate donc pour vous de la vie quotidienne des habitants de Montélimar et de la région durant la Grande Guerre, avec son lot de réquisitions, de rationnements, d'associations solidaires, d'accueil des réfugiés... Avec ses situations cocasses aussi (Ah ! la distribution du charbon ! ) et ses instants dramatiques tels que l'annonce des soldats tués, blessés ou disparus... Elle évoque aussi les activités traditionnelles : les cérémonies religieuses, les accidents, les travaux agricoles, les foires, les séances de cinéma ou celles, plus épiques, du conseil municipal...
Si la signature de l'Armistice marque bien la fin des hostilités, elle s'attache à démontrer que les difficultés n'ont pas cessé pour autant, en raison de la hausse du coût de la vie, de la spéculation, du manque de bras, mais aussi du retour éprouvant des dépouilles ou des conflits liés à l'érection des monuments aux morts. Il faudra encore un peu de temps pour que les habitants reprennent goût à la fête ! Ce sera chose faite en 1924...
Cet ouvrage fourmille des mille et un petits évènements qui ont émaillé la décennie 1914-1924. Bien que la ville de Montélimar soit privilégiée, l'auteure n'a pas oublié les villages des alentours et relevé dans la presse locale toutes les "nouvelles" les concernant.
Elle relate donc pour vous de la vie quotidienne des habitants de Montélimar et de la région durant la Grande Guerre, avec son lot de réquisitions, de rationnements, d'associations solidaires, d'accueil des réfugiés... Avec ses situations cocasses aussi (Ah ! la distribution du charbon ! ) et ses instants dramatiques tels que l'annonce des soldats tués, blessés ou disparus... Elle évoque aussi les activités traditionnelles : les cérémonies religieuses, les accidents, les travaux agricoles, les foires, les séances de cinéma ou celles, plus épiques, du conseil municipal...
Si la signature de l'Armistice marque bien la fin des hostilités, elle s'attache à démontrer que les difficultés n'ont pas cessé pour autant, en raison de la hausse du coût de la vie, de la spéculation, du manque de bras, mais aussi du retour éprouvant des dépouilles ou des conflits liés à l'érection des monuments aux morts. Il faudra encore un peu de temps pour que les habitants reprennent goût à la fête ! Ce sera chose faite en 1924...
Cet ouvrage fourmille des mille et un petits évènements qui ont émaillé la décennie 1914-1924. Bien que la ville de Montélimar soit privilégiée, l'auteure n'a pas oublié les villages des alentours et relevé dans la presse locale toutes les "nouvelles" les concernant.