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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.125 kg
  • Dimensions13,1 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-87673-630-6
  • EAN9782876736306
  • Date de parution20/11/2012
  • CollectionRecueil
  • ÉditeurChamp Vallon

Résumé

Je m'appelle Godeleiue Degroote, je suis morte dans un accident d'auto non loin de folkestone en angleterre le huit août mille neuf cent soixante-six. Aussitôt j'ai su que je ne serais pas seule à mourir, que je ne pouvais me détruire sans les autres, non par choix mais par amour. Qi on meurt à dix-huit ans on commence par la famille. Alors j'ai commencé par ma famille.
Je m'appelle Godeleiue Degroote, je suis morte dans un accident d'auto non loin de folkestone en angleterre le huit août mille neuf cent soixante-six. Aussitôt j'ai su que je ne serais pas seule à mourir, que je ne pouvais me détruire sans les autres, non par choix mais par amour. Qi on meurt à dix-huit ans on commence par la famille. Alors j'ai commencé par ma famille.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
5/5
ca fait mal
ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/monolgue-ludovic-degroote.html Le mot de la fin : Bouleversant est un faible mot pour décrire ce recueil de Ludovic Degroot. Il m'a été difficile de le lire sans interruption, il est aussi magnifiquement bien écrit que la pureté des sentiments et la souffrance de son écrivain. La difficulté de l'exercice que s'inflige l'auteur, me paraît comme une "autoflagellation salvatrice" censée calmer une culpabilité: celle du survivant. La vie après la mort; après la mort d'un être cher est peut-être une mort en soi.
ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/monolgue-ludovic-degroote.html Le mot de la fin : Bouleversant est un faible mot pour décrire ce recueil de Ludovic Degroot. Il m'a été difficile de le lire sans interruption, il est aussi magnifiquement bien écrit que la pureté des sentiments et la souffrance de son écrivain. La difficulté de l'exercice que s'inflige l'auteur, me paraît comme une "autoflagellation salvatrice" censée calmer une culpabilité: celle du survivant. La vie après la mort; après la mort d'un être cher est peut-être une mort en soi.