Mon cher petit (Lettres à Lucien Daudet (1895-1897, 1904) - Grand Format

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Lucien Daudet et Marcel Proust - Mon cher petit (Lettres à Lucien Daudet (1895-1897, 1904).
En 1946, un jeune médecin, Michel Bonduelle, était appelé au chevet de Lucien Daudet. Le fils d'Alphonse Daudet se prit d'amitié pour lui. Il lui... Lire la suite
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Résumé

En 1946, un jeune médecin, Michel Bonduelle, était appelé au chevet de Lucien Daudet. Le fils d'Alphonse Daudet se prit d'amitié pour lui. Il lui offrit en souvenir une boîte du Bon Marché qui avait contenu des gants. Michel Bonduelle y trouva une quarantaine de lettres de Proust. Des lettres inédites. Lucien Daudet avait publié lui-même une soixantaine de lettres de Proust. Il y en a bien d'autres qui restent toujours inconnues.
Celles que nous révèle aujourd'hui Michel Bonduelle ont un intérêt particulier. Proust a vingt-quatre ans, Lucien Daudet dix-sept. Pendant plus d'un an, Proust sera amoureux de l'adolescent. L'amitié viendra ensuite. Puis, quand Proust connaîtra ses succès littéraires, Lucien Daudet s'éloignera. Il dira même à Cocteau que Proust est "un insecte atroce". En dehors de l'histoire de cette amitié, l'intérêt des lettres est multiple.
On assiste au duel de Proust avec Jean Lorrain, à la mort d'Edmond de Goncourt, d'Alphonse Daudet. Et les lecteurs de la Recherche pourront s'amuser à reconnaître au passage la source de quelques traits et portraits.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/11/1991
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-072372-0
  • EAN
    9782070723720
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    216 pages
  • Poids
    0.274 Kg
  • Dimensions
    14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm

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À propos des auteurs

Ecrivain né et mort à Paris (1871-1922), Lucien Daudet fréquente assidûment les milieux mondains et les salons littéraires de son temps. Il adopte les conceptions esthétiques de Ruskin qu'il traduit. A la mort de sa mère, en 1905, il s'isole de plus en plus dans sa chambre, luttant contre des crises d'asthme, pour parachever jusqu'au dernier instant son oeuvre majeure, dont plus d'un tiers sera posthume.

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