Mon beau navire ô ma mémoire. Un siècle de poésie française, Gallimard 1911-2011
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- Nombre de pages217
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.173 kg
- Dimensions10,6 cm × 17,7 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-07-044439-7
- EAN9782070444397
- Date de parution27/10/2011
- CollectionPoésie
- ÉditeurGallimard
- PréfacierAntoine Gallimard
Résumé
Cette anthologie a pour but avoué de souligner l’exceptionnelle richesse du fonds poétique
Gallimard, et d’insister sur la présence déterminante de la poésie dès la fondation de la maison il y
a tout juste un siècle. N’oublions pas que parmi les premiers titres publiés les recueils de poèmes
étaient en nombre et que les présences de Saint-John Perse (sous le nom de Saint-Léger) et de
Paul Claudel s’imposent dès l’origine.
Ensuite, d’Apollinaire à Aragon, d’Artaud à Audiberti (pour ne citer que les premiers noms d’un fabuleux alphabet), ce sont les contemporains majeurs qui, un à un, apparaissent. Cent poètes, cent poèmes, pour Un siècle de poésie, avec au fronton un vers si familier qu’il invite autant à la découverte, à l’aventure, qu’à une remémoration active : Mon beau navire ô ma mémoire.
Ensuite, d’Apollinaire à Aragon, d’Artaud à Audiberti (pour ne citer que les premiers noms d’un fabuleux alphabet), ce sont les contemporains majeurs qui, un à un, apparaissent. Cent poètes, cent poèmes, pour Un siècle de poésie, avec au fronton un vers si familier qu’il invite autant à la découverte, à l’aventure, qu’à une remémoration active : Mon beau navire ô ma mémoire.
Cette anthologie a pour but avoué de souligner l’exceptionnelle richesse du fonds poétique
Gallimard, et d’insister sur la présence déterminante de la poésie dès la fondation de la maison il y
a tout juste un siècle. N’oublions pas que parmi les premiers titres publiés les recueils de poèmes
étaient en nombre et que les présences de Saint-John Perse (sous le nom de Saint-Léger) et de
Paul Claudel s’imposent dès l’origine.
Ensuite, d’Apollinaire à Aragon, d’Artaud à Audiberti (pour ne citer que les premiers noms d’un fabuleux alphabet), ce sont les contemporains majeurs qui, un à un, apparaissent. Cent poètes, cent poèmes, pour Un siècle de poésie, avec au fronton un vers si familier qu’il invite autant à la découverte, à l’aventure, qu’à une remémoration active : Mon beau navire ô ma mémoire.
Ensuite, d’Apollinaire à Aragon, d’Artaud à Audiberti (pour ne citer que les premiers noms d’un fabuleux alphabet), ce sont les contemporains majeurs qui, un à un, apparaissent. Cent poètes, cent poèmes, pour Un siècle de poésie, avec au fronton un vers si familier qu’il invite autant à la découverte, à l’aventure, qu’à une remémoration active : Mon beau navire ô ma mémoire.