Mon amour, son bateau et moi
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.285 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-490513-20-8
- EAN9782490513208
- Date de parution25/05/2023
- ÉditeurLa Nage de l'ourse
Résumé
Lorsque Juliette, 25 ans, monte à bord de Deneb pour un voyage au long cours avec Martin, elle n'a jamais navigué. Affronter les tempêtes, puiser aux sources de son être, se faire nomade des mers... Nous embarquons avec elle dans cette aventure initiatique où espace et temps se confondent, où humour et sincérité tiennent lieu de repères. Le vent souffle. Il est temps de hisser les voiles, cap sur la liberté.
De tout ce que je juge psychologiquement inconfortable et physiquement éprouvant, la mer a tout. La privation de sommeil et d'espace, le roulis constant, le huis clos avec les autres, le processus irréversible dont il faut jouer le jeu. Dans cet inconfort, j'ai découvert quelque chose d'inattendu et de précieux, le privilège, aussi insignifiant soit-il, d'y vivre.
De tout ce que je juge psychologiquement inconfortable et physiquement éprouvant, la mer a tout. La privation de sommeil et d'espace, le roulis constant, le huis clos avec les autres, le processus irréversible dont il faut jouer le jeu. Dans cet inconfort, j'ai découvert quelque chose d'inattendu et de précieux, le privilège, aussi insignifiant soit-il, d'y vivre.
Lorsque Juliette, 25 ans, monte à bord de Deneb pour un voyage au long cours avec Martin, elle n'a jamais navigué. Affronter les tempêtes, puiser aux sources de son être, se faire nomade des mers... Nous embarquons avec elle dans cette aventure initiatique où espace et temps se confondent, où humour et sincérité tiennent lieu de repères. Le vent souffle. Il est temps de hisser les voiles, cap sur la liberté.
De tout ce que je juge psychologiquement inconfortable et physiquement éprouvant, la mer a tout. La privation de sommeil et d'espace, le roulis constant, le huis clos avec les autres, le processus irréversible dont il faut jouer le jeu. Dans cet inconfort, j'ai découvert quelque chose d'inattendu et de précieux, le privilège, aussi insignifiant soit-il, d'y vivre.
De tout ce que je juge psychologiquement inconfortable et physiquement éprouvant, la mer a tout. La privation de sommeil et d'espace, le roulis constant, le huis clos avec les autres, le processus irréversible dont il faut jouer le jeu. Dans cet inconfort, j'ai découvert quelque chose d'inattendu et de précieux, le privilège, aussi insignifiant soit-il, d'y vivre.