Moi, Wetzstein Henri, sapeur de la Grande Guerre

Par : Philippe Bruant
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  • Nombre de pages100
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.43 kg
  • Dimensions21,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-35763-083-3
  • EAN9782357630833
  • Date de parution03/09/2015
  • ÉditeurGérard Louis

Résumé

En 1914, Henri Wetzstein a 20 ans. Résidant à Nancy, il est, dès la mobilisation, sergent au 10e régiment du génie à Toul, lequel faisait partie de la 73e division (général Lebocq). Sapeur, ses premières actions consistent à conforter la sécurité du fort de Villey-Saint-étienne puis, au gré des événements et des déplacements de son unité, on le retrouve au Bois le Prêtre, à Verdun, sur la butte de Vauquois, dans la Somme, faisant même partie du corps expéditionnaire français en Italie, d'octobre 1917 à mars 1918.
En juillet 1961, alors contraint de "garder la chambre" et pour s'occuper, il rédige ses mémoires. Celles-ci constituent l'essentiel de cet ouvrage. Extrait : "Voilà donc en quelques pages les pauvres souvenirs de guerre qui me sont restés présents à l'esprit. Bien des détails y manquent évidemment... ...Certains passages n'ont pas été écrits sans émotion, non pas du fait seul des événements ; mais entre poilus, nous n'étions pas étrangers les uns des autres, et c'est ce souvenir ineffaçable de tant de bons camarades, tués ou rescapés, le souvenir de cette vie infernale, ...
que seuls pouvaient créer notre misère, le feu, la boue et le sang. Et cela a duré 52 mois."
En 1914, Henri Wetzstein a 20 ans. Résidant à Nancy, il est, dès la mobilisation, sergent au 10e régiment du génie à Toul, lequel faisait partie de la 73e division (général Lebocq). Sapeur, ses premières actions consistent à conforter la sécurité du fort de Villey-Saint-étienne puis, au gré des événements et des déplacements de son unité, on le retrouve au Bois le Prêtre, à Verdun, sur la butte de Vauquois, dans la Somme, faisant même partie du corps expéditionnaire français en Italie, d'octobre 1917 à mars 1918.
En juillet 1961, alors contraint de "garder la chambre" et pour s'occuper, il rédige ses mémoires. Celles-ci constituent l'essentiel de cet ouvrage. Extrait : "Voilà donc en quelques pages les pauvres souvenirs de guerre qui me sont restés présents à l'esprit. Bien des détails y manquent évidemment... ...Certains passages n'ont pas été écrits sans émotion, non pas du fait seul des événements ; mais entre poilus, nous n'étions pas étrangers les uns des autres, et c'est ce souvenir ineffaçable de tant de bons camarades, tués ou rescapés, le souvenir de cette vie infernale, ...
que seuls pouvaient créer notre misère, le feu, la boue et le sang. Et cela a duré 52 mois."