Moi René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB Tome 2
Mon retour en France

Par : Jacques Tardi, Jean-Luc Ruault

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  • Nombre de pages141
  • PrésentationRelié
  • FormatAlbum
  • Poids1.068 kg
  • Dimensions24,0 cm × 32,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-203-06644-1
  • EAN9782203066441
  • Date de parution26/11/2014
  • ÉditeurCasterman

Résumé

Fin 2012, Tardi entreprenait avec Moi René Tardi prisonnier de guerre au stalag II B la publication de l’un de ses projets les plus personnels, mûri de longue date : l’adaptation en bande dessinée des carnets de guerre de son père, où celui-ci tenait la chronique minutieuse de ses années de captivité dans un camp de Poméranie en Pologne, presque cinq années durant. Une manière touchante et pudique pour le dessinateur, qui se met lui-même en scène dans ce récit sous les traits d’un enfant, de renouer le dialogue avec ce père ombrageux aujourd’hui disparu, profondément meurtri par cette longue épreuve.
Le premier volet de cette histoire s’achevait sur le départ des prisonniers de leur stalag fin janvier 1945, toujours encadrés par leurs geôliers, sous la menace de l’armée rouge soviétique lancée à l’assaut de l’Allemagne nazie alors en pleine débâcle. Le second volume de ce grand récit de guerre reprend là où le premier s’était arrêté, toujours sous le regard attentif de l’alter ego enfantin de Tardi : la longue marche des prisonniers dans un dénuement total et sous des températures extrêmes, la violence des garde-chiourme, la peur que suscitent les troupes russes toutes proches, les expédients pour s’assurer les meilleures chances de survie, les velléités d’évasion et ici et là quelques rares moments de récupération, comme la miraculeuse douche chaude négociée dans les locaux d’une ancienne brasserie…Autant de péripéties authentiques directement inspirées du carnet tenu au fil des jours à la mine de plomb sur « un cahier d’écolier coupé en quatre » par René Tardi, que l’on suit avec ses compagnons d’infortune tout au long de leur marche harassante à travers l’Europe dévastée, en direction de la France et de leurs foyers si longtemps espérés.
Fin 2012, Tardi entreprenait avec Moi René Tardi prisonnier de guerre au stalag II B la publication de l’un de ses projets les plus personnels, mûri de longue date : l’adaptation en bande dessinée des carnets de guerre de son père, où celui-ci tenait la chronique minutieuse de ses années de captivité dans un camp de Poméranie en Pologne, presque cinq années durant. Une manière touchante et pudique pour le dessinateur, qui se met lui-même en scène dans ce récit sous les traits d’un enfant, de renouer le dialogue avec ce père ombrageux aujourd’hui disparu, profondément meurtri par cette longue épreuve.
Le premier volet de cette histoire s’achevait sur le départ des prisonniers de leur stalag fin janvier 1945, toujours encadrés par leurs geôliers, sous la menace de l’armée rouge soviétique lancée à l’assaut de l’Allemagne nazie alors en pleine débâcle. Le second volume de ce grand récit de guerre reprend là où le premier s’était arrêté, toujours sous le regard attentif de l’alter ego enfantin de Tardi : la longue marche des prisonniers dans un dénuement total et sous des températures extrêmes, la violence des garde-chiourme, la peur que suscitent les troupes russes toutes proches, les expédients pour s’assurer les meilleures chances de survie, les velléités d’évasion et ici et là quelques rares moments de récupération, comme la miraculeuse douche chaude négociée dans les locaux d’une ancienne brasserie…Autant de péripéties authentiques directement inspirées du carnet tenu au fil des jours à la mine de plomb sur « un cahier d’écolier coupé en quatre » par René Tardi, que l’on suit avec ses compagnons d’infortune tout au long de leur marche harassante à travers l’Europe dévastée, en direction de la France et de leurs foyers si longtemps espérés.
Jacques Tardi
Jacques Tardi est né à Valence en 1946 mais a passé toute son enfance en Allemagne. A son retour en France, il intègre l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon puis l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris. Après l'obtention de son diplôme, il entre au sein du magazine Pilote en 1969 pour y apposer son style si particulier. Fasciné par la Première Guerre Mondiale, de par son histoire familiale, la majorité de son oeuvre est caractérisée par un univers en noir et blanc au message pacifiste fort. On reconnait ainsi facilement la plume de l'auteur à succès ayant refusé la Légion d'honneur mais obtenu le Grand Prix de la ville d'Angoulême en 1985 et deux Eisner Awards en 2011. En 2012, il publie Moi René Tardi, prisonnier au Stalag II B, en se basant sur les carnets de son père, prisonnier en Pologne durant la Seconde Guerre Mondiale. Laissez-vous guider dans son univers fascinant, artistiquement sublime, et salué par les critiques. Vous en ressortirez changé. Suivez l'avis de nos internautes amoureux de bandes dessinées et garnissez votre bibliothèque d'oeuvres captivantes. Art Spiegelman et Maus, Largo Winch de Jean Van Hamme ou encore Blake et Mortimer de Yves Sente, voici un exemple d'histoires cultes que vous pouvez vous procurer en quelques clics.
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