Moi les animaux
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- Nombre de pages115
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.128 kg
- Dimensions11,8 cm × 18,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-07-074440-X
- EAN9782070744404
- Date de parution01/02/1996
- CollectionHaute enfance
- ÉditeurGallimard
Résumé
"Je suis trop petit. Qu'est-ce qui m'a pris de vouloir la porter dans mes bras comme une poupée. Je ne suis pas assez fort pour la retenir quand elle glisse dans sa tête. Alors elle tombe. Ca finit toujours comme ça. Pauvre chiffon de mère". Qui est ce narrateur ? Un enfant malade, un enfant rêveur, captif, un adulte qui n'aurait pas grandi. Tout peut s'imaginer dans cet univers clos, cette unité de lieu - la chambre d'une mère malade -, dans cette unité d'action : une fin de vie.
Le narrateur est le témoin des soins continuels qu'on porte à la malade, des visiteurs qui se succèdent : en premier lieu, Lui, le père, qu'on craint et qu'on espère, puis la soeur aînée, la préférée, belle, enjouée, la cadette, dure, menant les choses à la baguette, les voisines, le curé, la ribambelle indistincte du reste de la fratrie. Violence, tendresse, révolte et désir se bousculent chez ce petit être fiévreux.
Heureusement, dans la chambre, il y a les animaux, les faux, surgis d'on ne sait où, des ombres peut-être, ou des figures du papier peint, doués d'une vie propre et que l'enfant rencontre dans de mystérieuses assemblées. Il y a un chat, vrai celui-là, son confident. Mais les signes du dehors, l'espoir, arrivent jusqu'à lui par la fenêtre derrière laquelle il s'embusque, guettant les forces ou l'illusion qui lui permettront de partir.
Le narrateur est le témoin des soins continuels qu'on porte à la malade, des visiteurs qui se succèdent : en premier lieu, Lui, le père, qu'on craint et qu'on espère, puis la soeur aînée, la préférée, belle, enjouée, la cadette, dure, menant les choses à la baguette, les voisines, le curé, la ribambelle indistincte du reste de la fratrie. Violence, tendresse, révolte et désir se bousculent chez ce petit être fiévreux.
Heureusement, dans la chambre, il y a les animaux, les faux, surgis d'on ne sait où, des ombres peut-être, ou des figures du papier peint, doués d'une vie propre et que l'enfant rencontre dans de mystérieuses assemblées. Il y a un chat, vrai celui-là, son confident. Mais les signes du dehors, l'espoir, arrivent jusqu'à lui par la fenêtre derrière laquelle il s'embusque, guettant les forces ou l'illusion qui lui permettront de partir.
"Je suis trop petit. Qu'est-ce qui m'a pris de vouloir la porter dans mes bras comme une poupée. Je ne suis pas assez fort pour la retenir quand elle glisse dans sa tête. Alors elle tombe. Ca finit toujours comme ça. Pauvre chiffon de mère". Qui est ce narrateur ? Un enfant malade, un enfant rêveur, captif, un adulte qui n'aurait pas grandi. Tout peut s'imaginer dans cet univers clos, cette unité de lieu - la chambre d'une mère malade -, dans cette unité d'action : une fin de vie.
Le narrateur est le témoin des soins continuels qu'on porte à la malade, des visiteurs qui se succèdent : en premier lieu, Lui, le père, qu'on craint et qu'on espère, puis la soeur aînée, la préférée, belle, enjouée, la cadette, dure, menant les choses à la baguette, les voisines, le curé, la ribambelle indistincte du reste de la fratrie. Violence, tendresse, révolte et désir se bousculent chez ce petit être fiévreux.
Heureusement, dans la chambre, il y a les animaux, les faux, surgis d'on ne sait où, des ombres peut-être, ou des figures du papier peint, doués d'une vie propre et que l'enfant rencontre dans de mystérieuses assemblées. Il y a un chat, vrai celui-là, son confident. Mais les signes du dehors, l'espoir, arrivent jusqu'à lui par la fenêtre derrière laquelle il s'embusque, guettant les forces ou l'illusion qui lui permettront de partir.
Le narrateur est le témoin des soins continuels qu'on porte à la malade, des visiteurs qui se succèdent : en premier lieu, Lui, le père, qu'on craint et qu'on espère, puis la soeur aînée, la préférée, belle, enjouée, la cadette, dure, menant les choses à la baguette, les voisines, le curé, la ribambelle indistincte du reste de la fratrie. Violence, tendresse, révolte et désir se bousculent chez ce petit être fiévreux.
Heureusement, dans la chambre, il y a les animaux, les faux, surgis d'on ne sait où, des ombres peut-être, ou des figures du papier peint, doués d'une vie propre et que l'enfant rencontre dans de mystérieuses assemblées. Il y a un chat, vrai celui-là, son confident. Mais les signes du dehors, l'espoir, arrivent jusqu'à lui par la fenêtre derrière laquelle il s'embusque, guettant les forces ou l'illusion qui lui permettront de partir.