À paraître
Moi, fabienne b., mauvaise fille
Par :Formats :
Bientôt disponible
La date de sortie de cet article n'est pas encore confirmée. Selon l'éditeur, il sera bientôt disponible.
- PrésentationBroché
- Poids0.312 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-38629-123-4
- EAN9782386291234
- Date de parution08/10/2025
- CollectionTEXTUEL IDEES-DEBATS
- ÉditeurTextuel
- PostfacierVéronique Blanchard
Résumé
"Je suis née pour un destin tragique. Je vais tout connaître : abandon, violences, injustices. Je vais frôler la mort et pourtant, ma vie vaut d'être vécue" . Un récit d'émancipation à l'écriture brute, viscérale porté par une survivante, une guerrière, qui parvient à transformer une expérience éminemment douloureuse en un manifeste de résistance et d'optimisme. D'évasion en arrestation, de séquestration en course poursuite, on court avec elle sans la lâcher.
A la suite de Christine Angot, de Vanessa Springora, de Neige Sinno ou encore de l'affaire Bétharram, Fabienne Bichet relate sans détour la domination des hommes et la violence des institutions.
A la suite de Christine Angot, de Vanessa Springora, de Neige Sinno ou encore de l'affaire Bétharram, Fabienne Bichet relate sans détour la domination des hommes et la violence des institutions.
"Je suis née pour un destin tragique. Je vais tout connaître : abandon, violences, injustices. Je vais frôler la mort et pourtant, ma vie vaut d'être vécue" . Un récit d'émancipation à l'écriture brute, viscérale porté par une survivante, une guerrière, qui parvient à transformer une expérience éminemment douloureuse en un manifeste de résistance et d'optimisme. D'évasion en arrestation, de séquestration en course poursuite, on court avec elle sans la lâcher.
A la suite de Christine Angot, de Vanessa Springora, de Neige Sinno ou encore de l'affaire Bétharram, Fabienne Bichet relate sans détour la domination des hommes et la violence des institutions.
A la suite de Christine Angot, de Vanessa Springora, de Neige Sinno ou encore de l'affaire Bétharram, Fabienne Bichet relate sans détour la domination des hommes et la violence des institutions.