Moi et la reine d'Angleterre
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages123
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions16,0 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-911289-85-4
- EAN9782911289859
- Date de parution03/02/2006
- CollectionLes Polisseurs de loupes
- ÉditeurBerg International
Résumé
" Vous trouverez ci-joints cinquante francs pour vos frais, en vous remerciant à l'avance de votre obligeance. " C'est par ce genre de formule que, depuis plus de quinze ans, Patrice Minet conclut les courriers qu'il adresse à tous ceux qui constituent les repères familiers de son quotidien. Qu'il écrive sous son nom ou sous une identité d'emprunt, qu'il s'adresse à la reine d'Angleterre, au directeur du zoo de Vincennes, à Mgr Lustiger ou à Yannick Noah, c'est en toute simplicité, avec une fraîcheur et une spontanéité déconcertantes, qu'il formule chaque fois une requête abracadabrante. Pour l'archevêque de Paris, une invitation à goûter; pour son boucher-charcutier, la livraison d'un rumsteck à manger en cachette de sa mère; pour le vice-président d'Euro Disney, une proposition: celle d'une animation spectaculaire, le dressage de pigeons adultes.
Beaucoup de correspondants ont la gentillesse de répondre, parfois avec un certain embarras.
Quant à la " petite somme " adressée, elle est (presque) toujours retournée.
" Vous trouverez ci-joints cinquante francs pour vos frais, en vous remerciant à l'avance de votre obligeance. " C'est par ce genre de formule que, depuis plus de quinze ans, Patrice Minet conclut les courriers qu'il adresse à tous ceux qui constituent les repères familiers de son quotidien. Qu'il écrive sous son nom ou sous une identité d'emprunt, qu'il s'adresse à la reine d'Angleterre, au directeur du zoo de Vincennes, à Mgr Lustiger ou à Yannick Noah, c'est en toute simplicité, avec une fraîcheur et une spontanéité déconcertantes, qu'il formule chaque fois une requête abracadabrante. Pour l'archevêque de Paris, une invitation à goûter; pour son boucher-charcutier, la livraison d'un rumsteck à manger en cachette de sa mère; pour le vice-président d'Euro Disney, une proposition: celle d'une animation spectaculaire, le dressage de pigeons adultes.
Beaucoup de correspondants ont la gentillesse de répondre, parfois avec un certain embarras.
Quant à la " petite somme " adressée, elle est (presque) toujours retournée.