Moi, Auguste Ravenel artiste-peintre : lettres illustrées 1908-1916

Par : Caroline Rimbault-Minot, Bruno Ricard, Anne-Sophie Marchal

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  • Nombre de pages309
  • PrésentationBroché
  • Poids0.735 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-84769-101-6
  • EAN9782847691016
  • Date de parution15/10/2008
  • ÉditeurEMS Editions

Résumé

Les Archives départementales de l'Oise conservaient depuis 1933 un trésor inédit : la correspondance illustrée du Beauvaisien Auguste Ravenel, élève à l'Ecole supérieure des Beaux-Arts de Paris puis soldat de la Grande Guerre mort à l'âge de 24 ans dans la bataille de la Somme en 1916. Les 123 lettres ou parties de lettres, toutes illustrées de dessins, présentées dans cet ouvrage, constituent un témoignage exceptionnel, et universel dans sa singularité même, de la vie d'un tout jeune provincial dans le Paris étudiant du début du XXe siècle, puis à la guerre.
Dans les tranchées ou à l'hôpital, son regard reste vif, sa conscience aux aguets. Ses affectueuses lettres destinées à ses parents et à sa soeur manifestent, par leurs textes et leurs illustrations, sa conviction que sa mission d'artiste a encore un sens à la guerre et donne sens à sa vie. "Malheureusement mes croquis sont un peu sales, mais ça ne fait rien, c'est la preuve qu'ils viennent du front".
Lettre d'Auguste Ravenel, 19 mars 1916.
Les Archives départementales de l'Oise conservaient depuis 1933 un trésor inédit : la correspondance illustrée du Beauvaisien Auguste Ravenel, élève à l'Ecole supérieure des Beaux-Arts de Paris puis soldat de la Grande Guerre mort à l'âge de 24 ans dans la bataille de la Somme en 1916. Les 123 lettres ou parties de lettres, toutes illustrées de dessins, présentées dans cet ouvrage, constituent un témoignage exceptionnel, et universel dans sa singularité même, de la vie d'un tout jeune provincial dans le Paris étudiant du début du XXe siècle, puis à la guerre.
Dans les tranchées ou à l'hôpital, son regard reste vif, sa conscience aux aguets. Ses affectueuses lettres destinées à ses parents et à sa soeur manifestent, par leurs textes et leurs illustrations, sa conviction que sa mission d'artiste a encore un sens à la guerre et donne sens à sa vie. "Malheureusement mes croquis sont un peu sales, mais ça ne fait rien, c'est la preuve qu'ils viennent du front".
Lettre d'Auguste Ravenel, 19 mars 1916.