Mohammed Khaïr-Eddine. Lettres et poèmes à sa femme Zhor Jendi et autres écrits épistolaires et littéraires 1985-1995
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.38 kg
- Dimensions17,0 cm × 23,3 cm × 1,1 cm
- ISBN978-9954-21-239-4
- EAN9789954212394
- Date de parution01/01/2011
- ÉditeurMarsam (Editions)
Résumé
Mohammed Khaïr-Eddine, l'un des grands écrivains marocains de notre temps, mort prématurément, était poète, romancier, tragédien et chroniqueur, mais aussi un maître rare et précieux de l'écriture épistolaire. La présente correspondance, qui comprend une centaine de lettres, dont quatre-vingt-onze destinées à sa femme Zhor Jendi, des poèmes et des textes littéraires inédits, des peintures et des dessins, n'est pas seulement iconoclaste.
Khaïr-Eddine dresse, dans cette correspondance et ces écrits, un portrait inattendu de l'homme, de ses affects, de ses obsessions, de son oeuvre et de sa pensée, et relance le débat sur son écriture et ses convictions. Ce qui est donné à lire, ici, c'est que Khaïr-Eddine ne jurait ni par la révolution ni par l'ordre établi ou l'ethnie ; il n'était pas davantage le guérillero linguistique que l'on disait, mais un écrivain sceptique, un empiriste transcendantal qui n'a cessé de s'interroger sur les odeurs de mantèque propres à son territoire existentiel et à chaque époque.
Khaïr-Eddine dresse, dans cette correspondance et ces écrits, un portrait inattendu de l'homme, de ses affects, de ses obsessions, de son oeuvre et de sa pensée, et relance le débat sur son écriture et ses convictions. Ce qui est donné à lire, ici, c'est que Khaïr-Eddine ne jurait ni par la révolution ni par l'ordre établi ou l'ethnie ; il n'était pas davantage le guérillero linguistique que l'on disait, mais un écrivain sceptique, un empiriste transcendantal qui n'a cessé de s'interroger sur les odeurs de mantèque propres à son territoire existentiel et à chaque époque.
Mohammed Khaïr-Eddine, l'un des grands écrivains marocains de notre temps, mort prématurément, était poète, romancier, tragédien et chroniqueur, mais aussi un maître rare et précieux de l'écriture épistolaire. La présente correspondance, qui comprend une centaine de lettres, dont quatre-vingt-onze destinées à sa femme Zhor Jendi, des poèmes et des textes littéraires inédits, des peintures et des dessins, n'est pas seulement iconoclaste.
Khaïr-Eddine dresse, dans cette correspondance et ces écrits, un portrait inattendu de l'homme, de ses affects, de ses obsessions, de son oeuvre et de sa pensée, et relance le débat sur son écriture et ses convictions. Ce qui est donné à lire, ici, c'est que Khaïr-Eddine ne jurait ni par la révolution ni par l'ordre établi ou l'ethnie ; il n'était pas davantage le guérillero linguistique que l'on disait, mais un écrivain sceptique, un empiriste transcendantal qui n'a cessé de s'interroger sur les odeurs de mantèque propres à son territoire existentiel et à chaque époque.
Khaïr-Eddine dresse, dans cette correspondance et ces écrits, un portrait inattendu de l'homme, de ses affects, de ses obsessions, de son oeuvre et de sa pensée, et relance le débat sur son écriture et ses convictions. Ce qui est donné à lire, ici, c'est que Khaïr-Eddine ne jurait ni par la révolution ni par l'ordre établi ou l'ethnie ; il n'était pas davantage le guérillero linguistique que l'on disait, mais un écrivain sceptique, un empiriste transcendantal qui n'a cessé de s'interroger sur les odeurs de mantèque propres à son territoire existentiel et à chaque époque.