Après la trilogie romanesque "Zweig, Einstein, Gary", je voulais raconter le destin tragique et lumineux de Modigliani. Le personnage, multiple et grandiose, semblait à l'étroit dans mes pages. Sa théâtralité en appelait à l'oralité, au dialogue, à la scène. Le flamboyant Montparnasse des années 1920, le génie de Modi, ce monde où les femmes tendent un baiser aux étoiles exigeaient les planches...
Laurent Seksik
Après la trilogie romanesque "Zweig, Einstein, Gary", je voulais raconter le destin tragique et lumineux de Modigliani. Le personnage, multiple et grandiose, semblait à l'étroit dans mes pages. Sa théâtralité en appelait à l'oralité, au dialogue, à la scène. Le flamboyant Montparnasse des années 1920, le génie de Modi, ce monde où les femmes tendent un baiser aux étoiles exigeaient les planches...
Laurent Seksik