Mode et estampe japonaise

Par : Anna Jackson, Masami Yamada
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  • Nombre de pages260
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.972 kg
  • Dimensions24,8 cm × 32,8 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-38611-028-3
  • EAN9782386110283
  • Date de parution16/10/2024
  • ÉditeurCitadelles et Mazenod
  • TraducteurJean-François Allain

Résumé

A partir de la fin du XVIIe siècle, alors que la société japonaise, et particulièrement la population citadine, bénéficie d'un essor économique sans précédent, l'art et la manière de se vêtir connaissent un fort engouement. Signe d'appartenance sociale et de richesse, le vêtement devient l'object d'un véritable phénomène de mode. Très prisée et largement diffusée, l'estampe ukiyo-e ("image du monde flottant"), qui s'attache à dépeindre les plaisirs du quotidien, se fait l'écho de ce nouveau goût pour l'apparence.
Elle va jouer un rôle important comme outil de promotion des modèles vestimentaires mais également comme source d'inspiration pour les ateliers de conception. Rivalisant d'élégance, voir d'extravagance samouraïs, acteurs de kabuki, geisha et courtisanes prêtent leurs silhouettes à l'exhibition de somptueuses toilettes. Kimono, obi, furisode, haori ou kakimisho, soigneusement rehaussé d'une pléiade d'accessoires (chaussures, peignes, épingles à cheveux), montrent l'extrême sophistication des parures.
Les artistes composent ainsi un répertoire de tenues aux couleurs chatoyantes, alliant l'harmonie des lignes et la délicatesses des motifs. Issue des riches collections du Victoria and Albert Museum, les estampes des grands maîtres du genre (Utamaro, Horishige, Kunisada, Kuniyoshi et Keisai Eisen) témoignent par leur flamboyance et leur raffinement de cette éblouissante culture de la mode à la fin de la période d'Edo.
A partir de la fin du XVIIe siècle, alors que la société japonaise, et particulièrement la population citadine, bénéficie d'un essor économique sans précédent, l'art et la manière de se vêtir connaissent un fort engouement. Signe d'appartenance sociale et de richesse, le vêtement devient l'object d'un véritable phénomène de mode. Très prisée et largement diffusée, l'estampe ukiyo-e ("image du monde flottant"), qui s'attache à dépeindre les plaisirs du quotidien, se fait l'écho de ce nouveau goût pour l'apparence.
Elle va jouer un rôle important comme outil de promotion des modèles vestimentaires mais également comme source d'inspiration pour les ateliers de conception. Rivalisant d'élégance, voir d'extravagance samouraïs, acteurs de kabuki, geisha et courtisanes prêtent leurs silhouettes à l'exhibition de somptueuses toilettes. Kimono, obi, furisode, haori ou kakimisho, soigneusement rehaussé d'une pléiade d'accessoires (chaussures, peignes, épingles à cheveux), montrent l'extrême sophistication des parures.
Les artistes composent ainsi un répertoire de tenues aux couleurs chatoyantes, alliant l'harmonie des lignes et la délicatesses des motifs. Issue des riches collections du Victoria and Albert Museum, les estampes des grands maîtres du genre (Utamaro, Horishige, Kunisada, Kuniyoshi et Keisai Eisen) témoignent par leur flamboyance et leur raffinement de cette éblouissante culture de la mode à la fin de la période d'Edo.
Kimono
Anna Jackson
Beau Livre
55,00 €