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  • Nombre de pages446
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,9 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-266-26525-6
  • EAN9782266265256
  • Date de parution01/10/2016
  • CollectionPocket
  • ÉditeurPocket
  • TraducteurBernard Cohen

Résumé

Rien ne les prédisposait l'un à l'autre. Elle : expert-comptable, raisonnable, pragmatique. Lui : artiste, insouciant, fantasque. Pourtant Robyn aime Paul, inconsidérément. Et inversement. Il ne leur manque qu'un enfant pour parfaire leur bonheur. Un enfant que des vacances paradisiaques à Essaouira, pense
Rien ne les prédisposait l'un à l'autre. Elle : expert-comptable, raisonnable, pragmatique. Lui : artiste, insouciant, fantasque. Pourtant Robyn aime Paul, inconsidérément. Et inversement. Il ne leur manque qu'un enfant pour parfaire leur bonheur. Un enfant que des vacances paradisiaques à Essaouira, pense-t-elle, sauront enfin engendrer. C'est alors qu'une nouvelle tombe, un secret révélé, si lourd qu'il dévaste tout.
Et Paul disparaît dans les sables marocains... Entre secrets et mirages, Robyn traversera tous les déserts... " Bien sûr, le suspense est au rendez-vous. Mais ce qui demeure encore plus fort sont les interrogations que soulève le récit, de vraies questions existentielles qui donnent au roman une densité exceptionnelle. " Le Figaro littéraire " Douglas Kennedy excelle lorsqu'il s'agit de plonger ses personnages dans un engrenage que nul ne contrôle.
" L'Express

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Ca pourrait peut-être faire un film
Mirage, c'est un en fait un road movie au Maroc, des confins de l'Atlas à Essaouira, du souk de Marrakech à Casablanca par une Américaine à la recherche de son mari volatilisé . L'écriture est fluide, riche en rebondissements. Mais les rebondissements deviennent répétitifs. L'argent est omniprésent. On retrouve tout le côté américain : l'argent , la réussite, les clichés sur les pays et les préjugés sur les gens. On se demande bien pourquoi cette femme recherche son mari qui l'a trahie, n'est pas attachant, est egoïste et directif, ... Que de dévouement pour une personne qui n'en vaut pas vraiment la peine.
Mirage, c'est un en fait un road movie au Maroc, des confins de l'Atlas à Essaouira, du souk de Marrakech à Casablanca par une Américaine à la recherche de son mari volatilisé . L'écriture est fluide, riche en rebondissements. Mais les rebondissements deviennent répétitifs. L'argent est omniprésent. On retrouve tout le côté américain : l'argent , la réussite, les clichés sur les pays et les préjugés sur les gens. On se demande bien pourquoi cette femme recherche son mari qui l'a trahie, n'est pas attachant, est egoïste et directif, ... Que de dévouement pour une personne qui n'en vaut pas vraiment la peine.
1/5
"Mirage" est un mirage...
J’ai découvert Douglas Kennedy avec son roman "Cet instant-là" que j’ai ADORE. Puis, j’ai lu "Murmurer à l’oreille des femmes" que je n’ai pas du tout apprécié… Cependant, cela ne m’a pas détourné de cet auteur et j’ai choisi "Mirage" dont on nous a tant parlé. Une écriture fluide pour cette histoire d’amour, de mensonges et de trahison qui se lit rapidement. Au départ, j’ai eu du mal à accrocher, trop guimauve à mon goût, puis c’est devenu plus intéressant une fois le méga secret du mari dévoilé à Robyn. Dès lors, on suit les aventures d’une femme forte, trahie, blessée, brisée, mais bien trop naïve
J’ai découvert Douglas Kennedy avec son roman "Cet instant-là" que j’ai ADORE. Puis, j’ai lu "Murmurer à l’oreille des femmes" que je n’ai pas du tout apprécié… Cependant, cela ne m’a pas détourné de cet auteur et j’ai choisi "Mirage" dont on nous a tant parlé. Une écriture fluide pour cette histoire d’amour, de mensonges et de trahison qui se lit rapidement. Au départ, j’ai eu du mal à accrocher, trop guimauve à mon goût, puis c’est devenu plus intéressant une fois le méga secret du mari dévoilé à Robyn. Dès lors, on suit les aventures d’une femme forte, trahie, blessée, brisée, mais bien trop naïve en ce qui concerne son couple. Je dirais même que le titre "Mirage" lui est approprié. Des longueurs, des personnages trop caricaturés et des questions sans réponse au bout des 550 pages : pourquoi Paul a trahi sa femme et pourquoi a-t-il cherché à renouer avec certaines personnes pour s’enfuir juste après ? Et pour terminer, une fin qui me laisse perplexe… La lecture n’a pas été désagréable mais ce roman ne fera pas partie de ceux dont je me souviendrai longtemps… Je ne retiendrai qu’une phrase du livre : "Pouvons-nous réellement connaître la personne qui partage notre vie ?".
Le Mirage n'a pas eu lieu
Mais où est donc passée la fabuleuse profondeur des romans de Douglas Kennedy? L'homme qui voulait vivre sa vie et autres pépites semblent avoir été englouties dans la torpeur de ce désert où pas grand chose ne nous y attache !!! Le personnage principal, une femme américaine se retrouve au Maroc à la recherche de son époux que toutes autant que nous sommes, aurions fui à toutes jambes tellement il est peu attachant et limite désagréable ... Beaucoup de considérations d'argent, de réservations de billets d'avion, de rencontres providentielles, de personnages patibulaires... A la fin de certains romans de
Mais où est donc passée la fabuleuse profondeur des romans de Douglas Kennedy? L'homme qui voulait vivre sa vie et autres pépites semblent avoir été englouties dans la torpeur de ce désert où pas grand chose ne nous y attache !!! Le personnage principal, une femme américaine se retrouve au Maroc à la recherche de son époux que toutes autant que nous sommes, aurions fui à toutes jambes tellement il est peu attachant et limite désagréable ... Beaucoup de considérations d'argent, de réservations de billets d'avion, de rencontres providentielles, de personnages patibulaires... A la fin de certains romans de Douglas K, j'ai souvent ressenti un vide, un manque laissé par ces personnages plus qu'attachants mais là... Rien... Dommage car j'adore cet auteur que j'ai rencontré à plusieurs reprises. Je ne retrouve plus cette petite étincelle de magie qui faisait de ses romans de merveilleux moments de lecture... Ressaisis toi Douglas !!!
Douglas Kennedy

Le célèbre écrivain new-Yorkais, Douglas Kennedy, s’est fait connaître dans le monde entier grâce à des œuvres romanesques de grande envergure. Ses livres ont reçu de nombreuses récompenses et fait l’objet d’adaptations cinématographiques lui ayant ouvert le cœur du grand public. Mais le parcours de cet écrivain n’a pas toujours été auréolé de succès. Retour sur la vie et l’itinéraire d’un auteur immensément talentueux.


Douglas Kennedy, écrivain à la conquête de sa plume


Né en 1955 à New York dans une famille aisée, le jeune Douglas suit des études à la Collegiate School. Après un saut d’un an à Dublin pour achever sa formation, il revient dans son pays natal. Il occupe le poste de régisseur dans divers théâtres de Broadway, alors centre névralgique de la scène new-yorkaise. En 1977, tandis qu’il rend visite à des amis en Irlande, il décide d’y rester définitivement.

À Dublin, il crée une compagnie théâtrale, puis administre la section expérimentale du National Theatre of Ireland de 1978 à 1983. Cette période sera le terreau créatif qui lui insuffle, plus forte que jamais, l’envie d’écrire. Ses responsabilités l’occupent toute la journée, c’est donc durant la nuit qu’il laisse libre cours à sa passion dévorante pour l’écriture. Douglas Kennedy compose d’abord des pièces de théâtre radiophoniques diffusées en Angleterre, en Irlande ainsi qu’en Australie.

Dès 1983, il comprend que sa vie sera consacrée à la littérature, ou ne sera pas. Ainsi, il quitte le théâtre national d’Irlande, et, en parallèle de ses créations théâtrales, est journaliste indépendant pour l’Irish Times. Il y travaille régulièrement de 1984 à 1986, année où l’on joue sa première pièce destinée à la scène. C’est un fiasco en règle, qui lui vaut même de ne plus écrire pour le grand quotidien irlandais. Mais Douglas Kennedy a la peau dure et n’est pas de ceux qui abandonnent au premier échec...


Le déménagement à Londres et l’heure de la reconnaissance


Nous sommes en 1988, l’auteur vit à présent à Londres, où il se consacre pleinement à l’écriture de son premier livre. Ce récit de voyage intitulé « Au-delà des pyramides » lui vaut d’être édité et bien reçu par la critique littéraire. Il en ira de même pour les deux ouvrages édités ensuite. Sa carrière de journaliste freelance s’est, elle aussi, joliment développée. Douglas Kennedy est en train de se faire un nom dans le monde des lettres.

1994 marquera un tournant décisif, l’écrivain publie son premier roman « Cul de sac », un thriller percutant qui sera adapté au cinéma en 1997 par le grand Stephan Elliott.

Trois ans plus tard, ce sera au tour du roman « L’Homme qui voulait vivre sa vie » d’impressionner les maisons d’édition et le lectorat. Cet ouvrage brillant traite des aspirations profondes de l’esprit humain, des pièges d’une existence bien rangée et de la possibilité, toujours, de refaire sa vie… Mais à quel prix ? Ces thèmes, redondants dans ses intrigues romanesques, percutent directement l’âme des lecteurs qui en redemandent. Cette création originale sera une réussite littéraire, puisque le livre se hissera parmi les meilleures ventes de l’année. L’adaptation cinématographique, par le français Éric Lartigau, sera un phénomène mondial. L’auteur américain, d’abord boudé par la critique, est soudain courtisé par toutes les maisons d’édition du monde. La carrière de Douglas Kennedy explose enfin.

Lui succède en 1998 le troublant roman « Le Désarroi de Ned Allen », qui connaît lui aussi un succès international. S’ensuivront d’autres bijoux littéraires comme « Une relation dangereuse » en 2003 ou encore « Au pays de Dieu » en 2004, qui seront également très bien accueillis par les critiques.

Le romancier vit aujourd’hui entre Londres, Wisscasset, Berlin et Paris, où il adore pratiquer le français dans lequel il excelle.


Les prix et distinctions des livres de Douglas Kennedy : une généreuse consécration


Le parcours artistique de Douglas Kennedy n’a pas manqué d’obstacles et de rebondissements. L’adversité lui a permis de faire germer un style unique et d’aiguiser une plume irrésistiblement acerbe et ironique. Grâce à son regard piquant sur le monde et sa façon de disséquer tant les rouages de la société que ceux de la psyché humaine, Douglas Kennedy s’impose comme un des plus grands auteurs contemporains.

Le romancier a reçu plusieurs prix lui rendant hommage. Parmi eux, le « WH Smith Thumping Good Read Award » en 1998, pour « L’homme qui voulait vivre sa vie » ou encore le prix littéraire Lucien-Barrière en 2003 pour « Rien ne va plus ».

En 2006, honneur suprême, il est sacré « Chevalier des Arts et des lettres ». Cette distinction française récompense les artistes contribuant au « rayonnement des arts et des lettres dans le monde », rien de moins.

Puis, ultime consécration en 2009, quand le Figaro lui remet un grand prix pour honorer l’ensemble de son œuvre. Aujourd’hui, chaque sortie de livre de D.Kennedy est un événement littéraire qui provoque systématiquement la vente de millions d’exemplaires.


Douglas Kennedy, le parrain des nouveaux auteurs


En tant que grand écrivain, Douglas Kennedy revêt également la casquette de parrain honorifique pour des prix littéraires permettant de mettre en lumière de jeunes auteurs méconnus.

Parmi eux, le Prix VSD RTL du « meilleur thriller étranger » qui récompense entre autres « Notre petit secret » de Roz Nay ou encore « Le Livre des choses cachées » de Francisco Dimitri.

Et vous, quel est le roman de Douglas Kennedy qui vous a bouleversé ?

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