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Minorités et pouvoir dans les pays anglophones
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- Nombre de pages258
- PrésentationBroché
- Poids0.42 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-02958-0
- EAN9782343029580
- Date de parution01/03/2014
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le pouvoir est au coeur du système socio-politico-économique des pays démocratiques qui dissimulent très souvent une sorte de " tyrannie de la majorité ". En refusant la tyrannie et l'hégémonie de la majorité, les minorités affichent une double injonction le refus de se soumettre et la volonté de s'affirmer. Dans les sociétés anglophones d'aujourd'hui, les revendications identitaires, politiques et économiques se sont substituées à la lutte des classes.
Les femmes, les minorités religieuses, ethniques ou raciales etc., semblent mieux comprendre les relations et le fonctionnement du pouvoir. Ainsi, les mouvements sociaux servent moins l'identité nationale ou collective que des fins corporatistes et particulières des groupes, de plus en plus fragmentés. Ce rapport, souvent conflictuel, est étudié sous l'angle du pouvoir politique, économique et social qui influence et façonne la nature même de ces sociétés.
Les femmes, les minorités religieuses, ethniques ou raciales etc., semblent mieux comprendre les relations et le fonctionnement du pouvoir. Ainsi, les mouvements sociaux servent moins l'identité nationale ou collective que des fins corporatistes et particulières des groupes, de plus en plus fragmentés. Ce rapport, souvent conflictuel, est étudié sous l'angle du pouvoir politique, économique et social qui influence et façonne la nature même de ces sociétés.
Le pouvoir est au coeur du système socio-politico-économique des pays démocratiques qui dissimulent très souvent une sorte de " tyrannie de la majorité ". En refusant la tyrannie et l'hégémonie de la majorité, les minorités affichent une double injonction le refus de se soumettre et la volonté de s'affirmer. Dans les sociétés anglophones d'aujourd'hui, les revendications identitaires, politiques et économiques se sont substituées à la lutte des classes.
Les femmes, les minorités religieuses, ethniques ou raciales etc., semblent mieux comprendre les relations et le fonctionnement du pouvoir. Ainsi, les mouvements sociaux servent moins l'identité nationale ou collective que des fins corporatistes et particulières des groupes, de plus en plus fragmentés. Ce rapport, souvent conflictuel, est étudié sous l'angle du pouvoir politique, économique et social qui influence et façonne la nature même de ces sociétés.
Les femmes, les minorités religieuses, ethniques ou raciales etc., semblent mieux comprendre les relations et le fonctionnement du pouvoir. Ainsi, les mouvements sociaux servent moins l'identité nationale ou collective que des fins corporatistes et particulières des groupes, de plus en plus fragmentés. Ce rapport, souvent conflictuel, est étudié sous l'angle du pouvoir politique, économique et social qui influence et façonne la nature même de ces sociétés.
