Migrations étudiantes sud-américaines. Trajectoires sociales et bifurcations biographiques
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- Nombre de pages164
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.313 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,9 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-11-010030-6
- EAN9782110100306
- Date de parution24/05/2017
- CollectionEtudes & recherche
- ÉditeurDocumentation Française (La)
- PréfacierCécile Van de Velde
Résumé
Les migrations étudiantes se situent au coeur des débats actuels sur l'immigration. Adoptant généralement un point de vue géopolitique, les études portant sur ce phénomène oublient souvent de s'intéresser à son objet principal : l'individu. Au-delà des chiffres, il existe le vécu, l'expérience individuelle de celles et ceux qui partent étudier dans un pays étranger. Cet ouvrage se propose d'explorer le vécu d'étudiants d'origine chilienne ou colombienne au cours de leurs études à Paris, New York ou Boston.
Bien que les trajectoires individuelles ne soient pas complètement libres - puisque la migration internationale est soumise à des règles juridiques et institutionnelles précises, qui laissent une place réduite à l'improvisation - l'analyse des biographies éclaire le réagencement des déterminismes sociaux par les individus. Cette recherche va à l'encontre de plusieurs idées reçues sur les migrations étudiantes : la garantie pour les étudiants d'une réussite assurée à leur retour, l'assouplissement des conditions de séjour pour les migrants très qualifiés, l'existence d'une classe internationale sans ancrages locaux, ou encore l'expatriation forcée des chercheurs des pays du Sud.
Ces phénomènes apparaissent en effet clairement à nuancer grâce à la prise en compte de la subjectivité des individus d'une part, et des effets des investissements des pays émergents dans la société du savoir, d'autre part.
Bien que les trajectoires individuelles ne soient pas complètement libres - puisque la migration internationale est soumise à des règles juridiques et institutionnelles précises, qui laissent une place réduite à l'improvisation - l'analyse des biographies éclaire le réagencement des déterminismes sociaux par les individus. Cette recherche va à l'encontre de plusieurs idées reçues sur les migrations étudiantes : la garantie pour les étudiants d'une réussite assurée à leur retour, l'assouplissement des conditions de séjour pour les migrants très qualifiés, l'existence d'une classe internationale sans ancrages locaux, ou encore l'expatriation forcée des chercheurs des pays du Sud.
Ces phénomènes apparaissent en effet clairement à nuancer grâce à la prise en compte de la subjectivité des individus d'une part, et des effets des investissements des pays émergents dans la société du savoir, d'autre part.
Les migrations étudiantes se situent au coeur des débats actuels sur l'immigration. Adoptant généralement un point de vue géopolitique, les études portant sur ce phénomène oublient souvent de s'intéresser à son objet principal : l'individu. Au-delà des chiffres, il existe le vécu, l'expérience individuelle de celles et ceux qui partent étudier dans un pays étranger. Cet ouvrage se propose d'explorer le vécu d'étudiants d'origine chilienne ou colombienne au cours de leurs études à Paris, New York ou Boston.
Bien que les trajectoires individuelles ne soient pas complètement libres - puisque la migration internationale est soumise à des règles juridiques et institutionnelles précises, qui laissent une place réduite à l'improvisation - l'analyse des biographies éclaire le réagencement des déterminismes sociaux par les individus. Cette recherche va à l'encontre de plusieurs idées reçues sur les migrations étudiantes : la garantie pour les étudiants d'une réussite assurée à leur retour, l'assouplissement des conditions de séjour pour les migrants très qualifiés, l'existence d'une classe internationale sans ancrages locaux, ou encore l'expatriation forcée des chercheurs des pays du Sud.
Ces phénomènes apparaissent en effet clairement à nuancer grâce à la prise en compte de la subjectivité des individus d'une part, et des effets des investissements des pays émergents dans la société du savoir, d'autre part.
Bien que les trajectoires individuelles ne soient pas complètement libres - puisque la migration internationale est soumise à des règles juridiques et institutionnelles précises, qui laissent une place réduite à l'improvisation - l'analyse des biographies éclaire le réagencement des déterminismes sociaux par les individus. Cette recherche va à l'encontre de plusieurs idées reçues sur les migrations étudiantes : la garantie pour les étudiants d'une réussite assurée à leur retour, l'assouplissement des conditions de séjour pour les migrants très qualifiés, l'existence d'une classe internationale sans ancrages locaux, ou encore l'expatriation forcée des chercheurs des pays du Sud.
Ces phénomènes apparaissent en effet clairement à nuancer grâce à la prise en compte de la subjectivité des individus d'une part, et des effets des investissements des pays émergents dans la société du savoir, d'autre part.