Michel Arouimi écrit depuis longtemps des poèmes, avec l'ambition de capter dans le verbe l'énergie de la musique pop. Entre 1970 et 1971, quelques poèmes émergent dans cette production évolutive, qui semblent réfléchir les problèmes sociaux de notre époque. Une intuition inconsciente, éloignée des préoccupations qui inspiraient ces textes : les dangers qui menacent le pouvoir créateur ou prétendu tel.
Les publications poétiques de M. Arouimi, dans quatre recueils et quelques revues (Arpa, Le Nouveau Recueil, Nord', Babylonia, Noria, etc.), sont bien moins nombreuses que les ouvrages illustrant ses recherches universitaires (la littérature comparée, avec des ouvertures sur la culture de masse). Il n'est pas sûr que l'ampleur de ces recherches ait nui à une vocation poétique qui a pour aiguillon ses propres écueils...
Michel Arouimi écrit depuis longtemps des poèmes, avec l'ambition de capter dans le verbe l'énergie de la musique pop. Entre 1970 et 1971, quelques poèmes émergent dans cette production évolutive, qui semblent réfléchir les problèmes sociaux de notre époque. Une intuition inconsciente, éloignée des préoccupations qui inspiraient ces textes : les dangers qui menacent le pouvoir créateur ou prétendu tel.
Les publications poétiques de M. Arouimi, dans quatre recueils et quelques revues (Arpa, Le Nouveau Recueil, Nord', Babylonia, Noria, etc.), sont bien moins nombreuses que les ouvrages illustrant ses recherches universitaires (la littérature comparée, avec des ouvertures sur la culture de masse). Il n'est pas sûr que l'ampleur de ces recherches ait nui à une vocation poétique qui a pour aiguillon ses propres écueils...