Migration senoufo en pays Koulango. Sur les traces d'Ardjouman, fondateur de pala
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- Poids0.237 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-14-049150-4
- EAN9782140491504
- Date de parution27/07/2023
- CollectionHarmattan Côte-d'Ivoire
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierNanan Bouaki
Résumé
Le texte nous parle de la migration vers le milieu du XVIIe siècle, d'un groupe de Djimini, parti de son village Panangana situé dans la région de Dabakala. Ce petit groupe constitué d'une centaine de personnes est conduit par son chef du nom d'Ardjouman. Si nous ne savons pas les réelles causes de ce déplacement, nous pouvons l'attribuer à l'insécurité dans cette région où régnaient l'anarchie et les razzias.
Ardjouman et ses hommes ont traversé pratiquement tout le nord-est de la Côte d'Ivoire pour s'installer dans leur habitat actuel dans la zone de Tanda. Accueillis par le chef de cette localité, ils fondent les villages de Gbabango, Pala, Iguela et Bouko au sud de Tanda, avant d'accueillir à leur tour, le premier contingent des Agni Bona fuyant la guerre au Ghana vers 1692.
Ardjouman et ses hommes ont traversé pratiquement tout le nord-est de la Côte d'Ivoire pour s'installer dans leur habitat actuel dans la zone de Tanda. Accueillis par le chef de cette localité, ils fondent les villages de Gbabango, Pala, Iguela et Bouko au sud de Tanda, avant d'accueillir à leur tour, le premier contingent des Agni Bona fuyant la guerre au Ghana vers 1692.
Le texte nous parle de la migration vers le milieu du XVIIe siècle, d'un groupe de Djimini, parti de son village Panangana situé dans la région de Dabakala. Ce petit groupe constitué d'une centaine de personnes est conduit par son chef du nom d'Ardjouman. Si nous ne savons pas les réelles causes de ce déplacement, nous pouvons l'attribuer à l'insécurité dans cette région où régnaient l'anarchie et les razzias.
Ardjouman et ses hommes ont traversé pratiquement tout le nord-est de la Côte d'Ivoire pour s'installer dans leur habitat actuel dans la zone de Tanda. Accueillis par le chef de cette localité, ils fondent les villages de Gbabango, Pala, Iguela et Bouko au sud de Tanda, avant d'accueillir à leur tour, le premier contingent des Agni Bona fuyant la guerre au Ghana vers 1692.
Ardjouman et ses hommes ont traversé pratiquement tout le nord-est de la Côte d'Ivoire pour s'installer dans leur habitat actuel dans la zone de Tanda. Accueillis par le chef de cette localité, ils fondent les villages de Gbabango, Pala, Iguela et Bouko au sud de Tanda, avant d'accueillir à leur tour, le premier contingent des Agni Bona fuyant la guerre au Ghana vers 1692.