Michel Parmentier. Textes et entretiens

Par : Aristide Bianchi

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  • Nombre de pages273
  • PrésentationBroché
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-918063-31-5
  • EAN9782918063315
  • Date de parution01/01/2014
  • ÉditeurBlack Jack
  • PréfacierAlfred Pacquement

Résumé

Michel Parmentier (1938-2000) commence à exposer en 1962. A partir de fin 1965, il peint des bandes horizontales par pliages rectilignes. Un an plus tard, c'est l'association Buren, Mosset, Parmentier, Toroni. Le 6 décembre, 1967, il acte la dissolution du groupe dans un tract : premier texte qu'il signe seul. Tous ses textes – à commencer par ceux commis à quatre – sont de sécession. A n'en pas finir.
Fin 1968, il cesse définitivement de peindre (sic). En 1983 son activité reprend et, dès lors, ne cesse plus : les plis rectilignes persistent. Exhaustif, ce recueil donne à lire les vingt et un textes (1966-1999) et les quatre entretiens (1981-1991) qu'il a publiés. Si le ton se modifie, si les registres varient, leur rassemblement est soudé par l'affrontement, sans relâche, d'un doute : "L'effet le plus pervers du lieu d'où nous parlons – appelons cela "art" pour faire vite – est que, même sorti, activement sorti, subversivement sorti, l'acteur est toujours là." (26 janvier 1994).
Michel Parmentier (1938-2000) commence à exposer en 1962. A partir de fin 1965, il peint des bandes horizontales par pliages rectilignes. Un an plus tard, c'est l'association Buren, Mosset, Parmentier, Toroni. Le 6 décembre, 1967, il acte la dissolution du groupe dans un tract : premier texte qu'il signe seul. Tous ses textes – à commencer par ceux commis à quatre – sont de sécession. A n'en pas finir.
Fin 1968, il cesse définitivement de peindre (sic). En 1983 son activité reprend et, dès lors, ne cesse plus : les plis rectilignes persistent. Exhaustif, ce recueil donne à lire les vingt et un textes (1966-1999) et les quatre entretiens (1981-1991) qu'il a publiés. Si le ton se modifie, si les registres varient, leur rassemblement est soudé par l'affrontement, sans relâche, d'un doute : "L'effet le plus pervers du lieu d'où nous parlons – appelons cela "art" pour faire vite – est que, même sorti, activement sorti, subversivement sorti, l'acteur est toujours là." (26 janvier 1994).