Michel De Ghelderode : Correspondance 1
Michel de ghelderode : correspondance - correspondance de michel de ghelderode : tome 1 : 1919 - 192
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.835 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 3,5 cm
- ISBN2-8040-0681-6
- EAN9782804006815
- Date de parution01/01/1990
- CollectionArchives du futur
- ÉditeurAML EDITIONS
- EditeurRoland Beyen
Résumé
La publication intégrale de toutes les lettres retrouvées de Ghelderode (1898-1962) nécessiterait une dizaine de volumes. Prévue en plusieurs tomes, cette Correspondance de Micheld e Ghelderode ne retiendra donc que les lettres les plus significatives. Ce premier tome qui regroupe, de mars 1919 à la fin de 1927, 172 lettres écrites par Ghelderode et 90 lettres reçues par lui, constitue cependant une sélection exceptionnellement généreuse : seule une centaine de lettres a été sacrifiée.
Si le grand épistolier que sera un peu plus tard l'écrivain cherche encore ici son style, on le voit déjà pourtant s'adapter à la psychologie de ses correspondants. On y voit également et surtout le jeune autodidacte Adhémar Martens s'efforcer opiniâtrement de devenir Michel de Ghelderode. Un des grands charmes de ce premier tome est aussi qu'il abonde en visages peu connus que le dramaturge, à l'époque de la "Ghelderodite aiguë", a écartés systématiquement de sa biographie officielle, les uns parce qu'ils l'avaient un jour "déçu" ou "trahi", les autres parce que, dans son enthousiasme juvénile, il les avait étrangement surestimés.
La présente édition critique contient de nombreuses notes dans un Répertoire de correspondants qui ouvriront aux lecteurs et chercheurs de nombreuses pistes de recherche.
Si le grand épistolier que sera un peu plus tard l'écrivain cherche encore ici son style, on le voit déjà pourtant s'adapter à la psychologie de ses correspondants. On y voit également et surtout le jeune autodidacte Adhémar Martens s'efforcer opiniâtrement de devenir Michel de Ghelderode. Un des grands charmes de ce premier tome est aussi qu'il abonde en visages peu connus que le dramaturge, à l'époque de la "Ghelderodite aiguë", a écartés systématiquement de sa biographie officielle, les uns parce qu'ils l'avaient un jour "déçu" ou "trahi", les autres parce que, dans son enthousiasme juvénile, il les avait étrangement surestimés.
La présente édition critique contient de nombreuses notes dans un Répertoire de correspondants qui ouvriront aux lecteurs et chercheurs de nombreuses pistes de recherche.
La publication intégrale de toutes les lettres retrouvées de Ghelderode (1898-1962) nécessiterait une dizaine de volumes. Prévue en plusieurs tomes, cette Correspondance de Micheld e Ghelderode ne retiendra donc que les lettres les plus significatives. Ce premier tome qui regroupe, de mars 1919 à la fin de 1927, 172 lettres écrites par Ghelderode et 90 lettres reçues par lui, constitue cependant une sélection exceptionnellement généreuse : seule une centaine de lettres a été sacrifiée.
Si le grand épistolier que sera un peu plus tard l'écrivain cherche encore ici son style, on le voit déjà pourtant s'adapter à la psychologie de ses correspondants. On y voit également et surtout le jeune autodidacte Adhémar Martens s'efforcer opiniâtrement de devenir Michel de Ghelderode. Un des grands charmes de ce premier tome est aussi qu'il abonde en visages peu connus que le dramaturge, à l'époque de la "Ghelderodite aiguë", a écartés systématiquement de sa biographie officielle, les uns parce qu'ils l'avaient un jour "déçu" ou "trahi", les autres parce que, dans son enthousiasme juvénile, il les avait étrangement surestimés.
La présente édition critique contient de nombreuses notes dans un Répertoire de correspondants qui ouvriront aux lecteurs et chercheurs de nombreuses pistes de recherche.
Si le grand épistolier que sera un peu plus tard l'écrivain cherche encore ici son style, on le voit déjà pourtant s'adapter à la psychologie de ses correspondants. On y voit également et surtout le jeune autodidacte Adhémar Martens s'efforcer opiniâtrement de devenir Michel de Ghelderode. Un des grands charmes de ce premier tome est aussi qu'il abonde en visages peu connus que le dramaturge, à l'époque de la "Ghelderodite aiguë", a écartés systématiquement de sa biographie officielle, les uns parce qu'ils l'avaient un jour "déçu" ou "trahi", les autres parce que, dans son enthousiasme juvénile, il les avait étrangement surestimés.
La présente édition critique contient de nombreuses notes dans un Répertoire de correspondants qui ouvriront aux lecteurs et chercheurs de nombreuses pistes de recherche.