MHSD / déconstruction

Par : Jacqueline Salmon, Christine Bergé

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  • Nombre de pages93
  • PrésentationBroché
  • Poids0.576 kg
  • Dimensions22,0 cm × 28,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-919507-01-6
  • EAN9782919507016
  • Date de parution22/09/2011
  • ÉditeurLoco

Résumé

Dans l'histoire du nucléaire français, européen et mondial, Superphénix est un cas à part. Aucun objet technologique n'a déchaîné, semble-t-il, autant de passions contradictoires, passions à la fois techniques et politiques. Depuis 1999, la centrale de Creys-Malville est en déconstruction. Jacqueline Salmon s'est demandée à quoi pouvait ressembler une centrale nucléaire en déconstruction. Après avoir obtenu les autorisations nécessaires, la photographe a travaillé sur les espaces non visibles au public.
Elle a ramené un ensemble d'images remarquables qui donne à ce travail personnel une dimension documentaire qui fera passer le lecteur curieux de l’autre côté des enceintes fermées de la centrale. Aujourd'hui, dans la salle de commande, on remarque beaucoup d'écrans masqués, désormais hors d'usage. Sur le compteur qui affichait autrefois la puissance du réacteur, on lit « MHSD », Mise Hors Service Définitive. Un texte de l'anthropologue Christine Bergé accompagne l'ouvrage en s'attachant aux paroles recueillies parmi les salariés de la centrale lors de son enquête.
Dans l'histoire du nucléaire français, européen et mondial, Superphénix est un cas à part. Aucun objet technologique n'a déchaîné, semble-t-il, autant de passions contradictoires, passions à la fois techniques et politiques. Depuis 1999, la centrale de Creys-Malville est en déconstruction. Jacqueline Salmon s'est demandée à quoi pouvait ressembler une centrale nucléaire en déconstruction. Après avoir obtenu les autorisations nécessaires, la photographe a travaillé sur les espaces non visibles au public.
Elle a ramené un ensemble d'images remarquables qui donne à ce travail personnel une dimension documentaire qui fera passer le lecteur curieux de l’autre côté des enceintes fermées de la centrale. Aujourd'hui, dans la salle de commande, on remarque beaucoup d'écrans masqués, désormais hors d'usage. Sur le compteur qui affichait autrefois la puissance du réacteur, on lit « MHSD », Mise Hors Service Définitive. Un texte de l'anthropologue Christine Bergé accompagne l'ouvrage en s'attachant aux paroles recueillies parmi les salariés de la centrale lors de son enquête.