En cours de chargement...
Dans les avenues élégantes de Charleston, le flâneur en vacances a toutes les chances de trouver ce qu'il cherche : la douceur de vivre, les parfums du Vieux Sud, la " grâce réconfortante du passé ". Et autre chose aussi, qu'il ne cherche pas. Un cadavre enfoui dans le sable de la plage. Un autre, pendu à un arbre, au milieu des marécages. Un autre encore, enfoncé dans un tonneau et coulé en mer. Tous dans un état de putréfaction qui empêche d'identifier les victimes et de connaître la cause de la mort.
Heureusement pour la police de Charleston, l'anthropologue judiciaire Temperance Brennan, Tempe pour les intimes, est dans les parages. Intelligence alerte, flegme à toute épreuve, la flamboyante héroïne de Bones mène l'enquête sans craindre ni l'état de décomposition (très avancé) de ses sujets d'étude, ni la violence sous aucune forme. Cette fois, elle reçoit une aide imprévue: celle de son ex-mari, Peter, humour ravageur et regard à faire fondre la banquise...
Tempe vacille.
couper!!!!!
Il traîné sur la table de chevet de Madame depuis longtemps.
Je m'étais juré de ne plus lire de Kathy Reich mais les vacances, plus de livre à se mettre sous la rétine et ce n'est pas bien mais j'ai craqué.
Les corps se succèdent de manière intéressante et c'est vrai que l'on voit très facilement que l'affaire d'Emma et celle de Peter ont de fortes chance de n'en former qu'une mais d'un autre côté c'est pas de la faute de l'auteur si les méchants sont très productifs.
Ryan nous fait un ticaca nerveux. Soit c'est dure de faire beaucoup de route pour ... une femme indécise.
Je me suis entendu dire à Madame que livre était bien parti pour être le meilleur de la série et jusqu'au 4/5 du livre j'ai espéré un dénouement à la hauteur de l'amoncellement d'ossement. Et l'enquête se termine en 15 pages avec un détail qui me semble ne pas constituer une preuve suffisante et qui de surcroit tombe comme un cheveux sur la soupe;
Mais je garde mon sang froid! Le vilain ne risque que la peine de mort, pas besoin de s'alarmer pour si peu.
Comme le dirait mon bon Parker: "Note pour plus tard, ne plus lire de Kathy Reichs."