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- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.314 kg
- Dimensions12,2 cm × 18,0 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-35178-636-9
- EAN9782351786369
- Date de parution01/03/2018
- CollectionTotem
- ÉditeurGallmeister
- TraducteurLaurent Bury
Résumé
Alicia et Six Godwin coulent une existence paisible jusqu'au jour où ils partent en week-end dans le luxueux lodge que leur richissime cousine, Iphigene Seldon, dirige d'une main de fer. Agée de soixante-dix-sept ans et dotée d'un caractère bien trempé, la vieille dame a justement convoqué ses nombreux héritiers pour leur annoncer qu'elle s'apprête à modifier son testament. Au lodge, l'atmopshère devient électrique.
Tandis qu'un orage d'une extrême violence se prépare, tous les membres de la famille se laissent envahir par des envies de meurtre.
Tandis qu'un orage d'une extrême violence se prépare, tous les membres de la famille se laissent envahir par des envies de meurtre.
Alicia et Six Godwin coulent une existence paisible jusqu'au jour où ils partent en week-end dans le luxueux lodge que leur richissime cousine, Iphigene Seldon, dirige d'une main de fer. Agée de soixante-dix-sept ans et dotée d'un caractère bien trempé, la vieille dame a justement convoqué ses nombreux héritiers pour leur annoncer qu'elle s'apprête à modifier son testament. Au lodge, l'atmopshère devient électrique.
Tandis qu'un orage d'une extrême violence se prépare, tous les membres de la famille se laissent envahir par des envies de meurtre.
Tandis qu'un orage d'une extrême violence se prépare, tous les membres de la famille se laissent envahir par des envies de meurtre.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Pascal Giraud— Decitre Annecy
4/5
“ Petits meurtres entre amis ”
On s'y voit presque, dans ce lodge au bord de l'eau calme d'un lac du Maine, à pêcher et boire du whisky de prestige avec de jeunes retraités fortunés et autres héritiers aux poches pleines.
Et on y est bien !
Sauf que rapidement l'orage gronde et les meurtres se multiplient comme les poissons d'eau douce à la belle saison. Ned Crabb, qui publie là son deuxième roman, plus de 30 ans après le précédent, a réussi son coup, son polar est à la fois reposant (le calme et la beauté du lieu), addictif (l'action s'emballe, les suspects se multiplient), non dénué d'humour et surprenant jusqu'au dénouement.
La multiplicité des personnages en un lieu unique n'est pas sans rappeler le meilleur de ce qui serait une Agatha Christie moderne et on en redemande !
On s'y voit presque, dans ce lodge au bord de l'eau calme d'un lac du Maine, à pêcher et boire du whisky de prestige avec de jeunes retraités fortunés et autres héritiers aux poches pleines.
Et on y est bien !
Sauf que rapidement l'orage gronde et les meurtres se multiplient comme les poissons d'eau douce à la belle saison. Ned Crabb, qui publie là son deuxième roman, plus de 30 ans après le précédent, a réussi son coup, son polar est à la fois reposant (le calme et la beauté du lieu), addictif (l'action s'emballe, les suspects se multiplient), non dénué d'humour et surprenant jusqu'au dénouement.
La multiplicité des personnages en un lieu unique n'est pas sans rappeler le meilleur de ce qui serait une Agatha Christie moderne et on en redemande !
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
5/5
5/5
“ RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE CHRONIQUE ”
Ned Crabb n’est pas n’importe qui ! Voilà un homme qui a été à la fois rédacteur en chef, journaliste et illustrateur pour le “Wall Street Journal”. Scripteur polymorphe, Crabb a ajouté une corde supplémentaire à son arc de chasseur de mots, celui d’écrivain, même s’il n’avait publié qu’un seul roman jusqu’à maintenant.
Depuis la publication en 1978 de son premier roman “La bouffe est chouette à Fatchakulla” le style de Crabb se caractérise par une technique de portraitiste qui peut peindre jusqu’aux plus petits ressorts de la psychologie de ses personnages. Son écriture hésite souvent entre une ironie mordante et un sens de l’humour roboratif sans oublier une réelle capacité à déclencher un orage de tensions entre les protagonistes de ses romans.
C’est exactement ce qui va se passer dans “Meurtres à Willow Pond” le nouveau et second roman de Ned Crabb. Alicia et Six Godwin tiennent une librairie sur les rives d’un charmant petit lac du Maine où le couple se livre à sa passion de la pêche à la mouche. Leur existence va basculer quand ils vont décider de passer le week-end chez leur riche cousine Iphigene Seldon. Cette dernière qui commence à flirter avec les 80 ans a décidé de réunir les membres de sa famille pour leur annoncer qu’elle s’apprêtait à modifier son testament. Le récit prend alors une tournure tout à fait particulière et bascule dans une dimension où la psychologie la dispute aux désirs les plus bas des protagonistes. Crabb peut alors entrainer son lecteur à travers une série de péripéties et de rebondissements éclairées par des dialogues vifs et plein d’intelligence. On hésite entre le grand roman américain et les intrigues à l’anglaise. La conjonction des deux genres produit un résultat tout à fait surprenant qui fait de “Meurtres à Willow Pond” un hybride littéraire d’une efficacité redoutable. Crabb se joue avec une grande maestria de son lecteur l’entrainant dans une course folle où les actions se bousculent jusqu’au dénouement final. Dés lors impossible de lacher ce roman à la fois classique dans sa construction mais mettant en scène des personnages étonnants. La confirmation du talent de Ned Crabb.
Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
Ned Crabb n’est pas n’importe qui ! Voilà un homme qui a été à la fois rédacteur en chef, journaliste et illustrateur pour le “Wall Street Journal”. Scripteur polymorphe, Crabb a ajouté une corde supplémentaire à son arc de chasseur de mots, celui d’écrivain, même s’il n’avait publié qu’un seul roman jusqu’à maintenant.
Depuis la publication en 1978 de son premier roman “La bouffe est chouette à Fatchakulla” le style de Crabb se caractérise par une technique de portraitiste qui peut peindre jusqu’aux plus petits ressorts de la psychologie de ses personnages. Son écriture hésite souvent entre une ironie mordante et un sens de l’humour roboratif sans oublier une réelle capacité à déclencher un orage de tensions entre les protagonistes de ses romans.
C’est exactement ce qui va se passer dans “Meurtres à Willow Pond” le nouveau et second roman de Ned Crabb. Alicia et Six Godwin tiennent une librairie sur les rives d’un charmant petit lac du Maine où le couple se livre à sa passion de la pêche à la mouche. Leur existence va basculer quand ils vont décider de passer le week-end chez leur riche cousine Iphigene Seldon. Cette dernière qui commence à flirter avec les 80 ans a décidé de réunir les membres de sa famille pour leur annoncer qu’elle s’apprêtait à modifier son testament. Le récit prend alors une tournure tout à fait particulière et bascule dans une dimension où la psychologie la dispute aux désirs les plus bas des protagonistes. Crabb peut alors entrainer son lecteur à travers une série de péripéties et de rebondissements éclairées par des dialogues vifs et plein d’intelligence. On hésite entre le grand roman américain et les intrigues à l’anglaise. La conjonction des deux genres produit un résultat tout à fait surprenant qui fait de “Meurtres à Willow Pond” un hybride littéraire d’une efficacité redoutable. Crabb se joue avec une grande maestria de son lecteur l’entrainant dans une course folle où les actions se bousculent jusqu’au dénouement final. Dés lors impossible de lacher ce roman à la fois classique dans sa construction mais mettant en scène des personnages étonnants. La confirmation du talent de Ned Crabb.
Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
