Metz que un club

Par : Stéphane Duchêne

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  • Nombre de pages60
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-491436-35-3
  • EAN9782491436353
  • Date de parution20/08/2021
  • CollectionLe club des écrivains
  • ÉditeurMédiapop

Résumé

Le FC Metz, j'en suis tombé amoureux le 3 octobre 1984, alors même que j'ignorais aimer le football. Ce soir-là, le club de la ville où je suis né, où l'on se rendait parfois le week-end depuis la vallée de l'Orne pour flâner aux Nouvelles Galeries et manger un chausson aux pommes chez Doyotte, ce club dont je ne connaissais pas encore l'existence, réalisait ce qui semblait être l'exploit du siècle.
Battre 4 à 1 et éliminer le Barça chez lui après avoir perdu 4-2 à Metz. J'avais 7 ans. Je découvrais Tony Kurbos et Jules Bocandé, je découvrais cette drôle d'équipe au maillot grenat siglé - Sollac - par la sidérurgie, je découvrais que ce qu'on dit impossible ne l'est jamais complètement. Je n'ai jamais vu ce match, écouté par hasard à la radio et de toute façon pas télévisé, mais ses images vivent en moi pour toujours.
Elles ont nourri la flamme d'une passion instable dont je n'ai jamais pu me défaire.
Le FC Metz, j'en suis tombé amoureux le 3 octobre 1984, alors même que j'ignorais aimer le football. Ce soir-là, le club de la ville où je suis né, où l'on se rendait parfois le week-end depuis la vallée de l'Orne pour flâner aux Nouvelles Galeries et manger un chausson aux pommes chez Doyotte, ce club dont je ne connaissais pas encore l'existence, réalisait ce qui semblait être l'exploit du siècle.
Battre 4 à 1 et éliminer le Barça chez lui après avoir perdu 4-2 à Metz. J'avais 7 ans. Je découvrais Tony Kurbos et Jules Bocandé, je découvrais cette drôle d'équipe au maillot grenat siglé - Sollac - par la sidérurgie, je découvrais que ce qu'on dit impossible ne l'est jamais complètement. Je n'ai jamais vu ce match, écouté par hasard à la radio et de toute façon pas télévisé, mais ses images vivent en moi pour toujours.
Elles ont nourri la flamme d'une passion instable dont je n'ai jamais pu me défaire.