«Il y en a marre : quand le bonheur frappe à ma porte, ce n’est jamais moi qui ouvre. Bientôt, ils créeront un impôt sur le rêve nu ! Nous sommes tous égaux devant la mort. Mais après ? Ma dernière volonté ? Vivre ! Les hypocrites vont voir de quelle langue de bois je me chauffe.»
«Il y en a marre : quand le bonheur frappe à ma porte, ce n’est jamais moi qui ouvre. Bientôt, ils créeront un impôt sur le rêve nu ! Nous sommes tous égaux devant la mort. Mais après ? Ma dernière volonté ? Vivre ! Les hypocrites vont voir de quelle langue de bois je me chauffe.»