Mes jeunes années. Une fillette dans la tourmente de la guerre d'Espagne
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.105 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-296-03729-8
- EAN9782296037298
- Date de parution01/07/2007
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans l'enthousiasme de l'arrivée de la République espagnole, le père de Maria est élu maire du village dans une liste de la gauche catalaniste. A partir de ce moment, la vie de la famille sera étroitement liée aux événements qui vont se succéder : la guerre civile, l'exode et les camps de concentration en France. Arrive le mois d'octobre 1934 avec la montée du fascisme. Son père est emprisonné. Puis les choses vont se précipiter. La victoire du Front Populaire, en février 1936, ne sera pas acceptée par la droite. La guerre pointe à l'horizon et, tel un violent orage d'été, éclate en juillet 1936. L'avance des troupes franquistes oblige Maria et sa famille à entamer une longue marche vers la frontière française durant laquelle ils vont subir les mitraillages des avions franquistes et les bombardements. Dès l'arrivée en France, le désespoir prend la place de toutes les espérances accumulées. Tout d'abord la séparation des familles : les hommes d'un côté, les femmes et les enfants de l'autre. Ensuite la longue errance dans les camps pendant trente-deux mois, jusqu'à la réunion de toute la famille à Mollans, dans la Drôme provençale.
Dans l'enthousiasme de l'arrivée de la République espagnole, le père de Maria est élu maire du village dans une liste de la gauche catalaniste. A partir de ce moment, la vie de la famille sera étroitement liée aux événements qui vont se succéder : la guerre civile, l'exode et les camps de concentration en France. Arrive le mois d'octobre 1934 avec la montée du fascisme. Son père est emprisonné. Puis les choses vont se précipiter. La victoire du Front Populaire, en février 1936, ne sera pas acceptée par la droite. La guerre pointe à l'horizon et, tel un violent orage d'été, éclate en juillet 1936. L'avance des troupes franquistes oblige Maria et sa famille à entamer une longue marche vers la frontière française durant laquelle ils vont subir les mitraillages des avions franquistes et les bombardements. Dès l'arrivée en France, le désespoir prend la place de toutes les espérances accumulées. Tout d'abord la séparation des familles : les hommes d'un côté, les femmes et les enfants de l'autre. Ensuite la longue errance dans les camps pendant trente-deux mois, jusqu'à la réunion de toute la famille à Mollans, dans la Drôme provençale.