Mes années Ben Ali : Un ambassadeur de France en Tunisie
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.165 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-9973-19-752-8
- EAN9789973197528
- Date de parution01/03/2011
- ÉditeurCérès Editions
Résumé
Les Tunisiens ont été heurtés par la position de la France la veille de la Révolution. Un diplomate français un peu « à part », et non des moindres, Yves Aubin de La Messuzière, ancien ambassadeur de France en Tunisie, en a pris acte et a décidé de rompre le silence. Il avait déjà détonné et séduit la
société civile, en fréquentant les opposants au régime ou encore en ouvrant, pour la première fois en 130 ans, les grilles de sa résidence au public, à une époque où toutes les chancelleries occidentales faisaient fortifier leurs enceintes.
N’étant plus tenu par le devoir de réserve, l’auteur ne mâche pas ses mots sur le cartel des familles, le « cas » tunisien, l’ambiance de fin de règne, diagnostiquant chez l’autocrate Ben Ali un syndrome indonésien, selon le bon mot de Jacques Chirac, ou qualifiant Abdelwahab Abdallah de Raspoutine tunisien. L’auteur nous fait part de ce qu’il a toujours su et en partie tu. Toutes les questions sont posées.
Tous les protagonistes de la scène politique tunisienne et française sont présents. Et, en annexe, deux télégrammes diplomatiques secrets dont la publication a été exceptionnellement autorisée. Un grand moment de vérité, non dénué d’humeur, sur l’exercice tragi-comique du pouvoir dans un « Makhzen républicain ».
N’étant plus tenu par le devoir de réserve, l’auteur ne mâche pas ses mots sur le cartel des familles, le « cas » tunisien, l’ambiance de fin de règne, diagnostiquant chez l’autocrate Ben Ali un syndrome indonésien, selon le bon mot de Jacques Chirac, ou qualifiant Abdelwahab Abdallah de Raspoutine tunisien. L’auteur nous fait part de ce qu’il a toujours su et en partie tu. Toutes les questions sont posées.
Tous les protagonistes de la scène politique tunisienne et française sont présents. Et, en annexe, deux télégrammes diplomatiques secrets dont la publication a été exceptionnellement autorisée. Un grand moment de vérité, non dénué d’humeur, sur l’exercice tragi-comique du pouvoir dans un « Makhzen républicain ».
Les Tunisiens ont été heurtés par la position de la France la veille de la Révolution. Un diplomate français un peu « à part », et non des moindres, Yves Aubin de La Messuzière, ancien ambassadeur de France en Tunisie, en a pris acte et a décidé de rompre le silence. Il avait déjà détonné et séduit la
société civile, en fréquentant les opposants au régime ou encore en ouvrant, pour la première fois en 130 ans, les grilles de sa résidence au public, à une époque où toutes les chancelleries occidentales faisaient fortifier leurs enceintes.
N’étant plus tenu par le devoir de réserve, l’auteur ne mâche pas ses mots sur le cartel des familles, le « cas » tunisien, l’ambiance de fin de règne, diagnostiquant chez l’autocrate Ben Ali un syndrome indonésien, selon le bon mot de Jacques Chirac, ou qualifiant Abdelwahab Abdallah de Raspoutine tunisien. L’auteur nous fait part de ce qu’il a toujours su et en partie tu. Toutes les questions sont posées.
Tous les protagonistes de la scène politique tunisienne et française sont présents. Et, en annexe, deux télégrammes diplomatiques secrets dont la publication a été exceptionnellement autorisée. Un grand moment de vérité, non dénué d’humeur, sur l’exercice tragi-comique du pouvoir dans un « Makhzen républicain ».
N’étant plus tenu par le devoir de réserve, l’auteur ne mâche pas ses mots sur le cartel des familles, le « cas » tunisien, l’ambiance de fin de règne, diagnostiquant chez l’autocrate Ben Ali un syndrome indonésien, selon le bon mot de Jacques Chirac, ou qualifiant Abdelwahab Abdallah de Raspoutine tunisien. L’auteur nous fait part de ce qu’il a toujours su et en partie tu. Toutes les questions sont posées.
Tous les protagonistes de la scène politique tunisienne et française sont présents. Et, en annexe, deux télégrammes diplomatiques secrets dont la publication a été exceptionnellement autorisée. Un grand moment de vérité, non dénué d’humeur, sur l’exercice tragi-comique du pouvoir dans un « Makhzen républicain ».