Mémoires du général Griois (1812-1822). Maréchal de camp d'artillerie, baron de l'Empire
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- Nombre de pages314
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-909034-43-7
- EAN9782909034430
- Date de parution02/12/2003
- ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
- PréfacierMichel Legat
- AnnotateurArthur Chuquet
Résumé
J'allai avec le général Grouchy et son chef d'état-major Jumilhac reconnaître les environs. Un boulet tiré de très près passa entre nous trois. Jumilhac se baissa vivement. Le général Grouchy ne put s'empêcher de sourire : " Il paraît, colonel, que vous êtes plus familier avec les boulets que monsieur, car vous ne les saluez pas comme lui. " On ne montre pas sa peur des boulets, lorsque l'on est officier d'artillerie dans la Grande Armée.
Et pourtant, que la guerre est effrayante pendant cette campagne de 1812 où la souffrance humaine atteint son paroxysme. La valeur du témoignage de Griois tient dans le fait que l'auteur ne s'attribue jamais un rôle qui n'est pas le sien. Il décrit ce qu'il voit et ce qu'il ressent aux côtés des hommes qu'il commande. Griois endure les misères de la guerre, il connaît aussi la gloire. En 1813, il commande l'artillerie de la vieille garde impériale, ce qui en dit assez sur ses mérites de soldat.
Ses mémoires sont un document exceptionnel sur les dernières campagnes de l'Empire.
Et pourtant, que la guerre est effrayante pendant cette campagne de 1812 où la souffrance humaine atteint son paroxysme. La valeur du témoignage de Griois tient dans le fait que l'auteur ne s'attribue jamais un rôle qui n'est pas le sien. Il décrit ce qu'il voit et ce qu'il ressent aux côtés des hommes qu'il commande. Griois endure les misères de la guerre, il connaît aussi la gloire. En 1813, il commande l'artillerie de la vieille garde impériale, ce qui en dit assez sur ses mérites de soldat.
Ses mémoires sont un document exceptionnel sur les dernières campagnes de l'Empire.
J'allai avec le général Grouchy et son chef d'état-major Jumilhac reconnaître les environs. Un boulet tiré de très près passa entre nous trois. Jumilhac se baissa vivement. Le général Grouchy ne put s'empêcher de sourire : " Il paraît, colonel, que vous êtes plus familier avec les boulets que monsieur, car vous ne les saluez pas comme lui. " On ne montre pas sa peur des boulets, lorsque l'on est officier d'artillerie dans la Grande Armée.
Et pourtant, que la guerre est effrayante pendant cette campagne de 1812 où la souffrance humaine atteint son paroxysme. La valeur du témoignage de Griois tient dans le fait que l'auteur ne s'attribue jamais un rôle qui n'est pas le sien. Il décrit ce qu'il voit et ce qu'il ressent aux côtés des hommes qu'il commande. Griois endure les misères de la guerre, il connaît aussi la gloire. En 1813, il commande l'artillerie de la vieille garde impériale, ce qui en dit assez sur ses mérites de soldat.
Ses mémoires sont un document exceptionnel sur les dernières campagnes de l'Empire.
Et pourtant, que la guerre est effrayante pendant cette campagne de 1812 où la souffrance humaine atteint son paroxysme. La valeur du témoignage de Griois tient dans le fait que l'auteur ne s'attribue jamais un rôle qui n'est pas le sien. Il décrit ce qu'il voit et ce qu'il ressent aux côtés des hommes qu'il commande. Griois endure les misères de la guerre, il connaît aussi la gloire. En 1813, il commande l'artillerie de la vieille garde impériale, ce qui en dit assez sur ses mérites de soldat.
Ses mémoires sont un document exceptionnel sur les dernières campagnes de l'Empire.