Mémoires de femmes. Ces façons de faire transmises de mère en fille
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- Nombre de pages187
- PrésentationRelié
- Poids0.84 kg
- Dimensions20,6 cm × 26,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-86553-106-6
- EAN9782865531066
- Date de parution01/01/1997
- CollectionLa belle ouvrage
- ÉditeurGodefroy (Jean-Cyrille)
Résumé
Les femmes ont toujours pris leur part de peine dans la vie des hommes.
Elles vivaient autrefois à l'ombre d'un père, puis dans celle d'un mari. Elles se dépensaient du matin au soir, effacées mais efficaces, au fond de l'atelier ou au
faîte des gerbières, à la boutique ou à la manufacture. Si l'ouvrière percevait un maigre salaire, l'épouse d'un artisan ne devait se contenter que de vagues mercis. La fille de ferme, quant à elle, connaissait plus les réprimandes que les compliments. Il y avait aussi le ménage à tenir, les enfants à élever, le quotidien à gérer avec parcimonie, toutes ces taches indispensables, mais tellement banales, qu'on finissait par ne plus les voir. Il y a les rêves perdus, les grandes tristesses et les joies, les gestes qui se perpétuaient de génération en génération... C'est en confident que Gérard Boutet a écouté ces vénérables grand-mères. Leurs souvenirs évoquent un hier où elles n'étaient que des gamines confiantes dans la vie qui se présentait à elles.
Les femmes ont toujours pris leur part de peine dans la vie des hommes.
Elles vivaient autrefois à l'ombre d'un père, puis dans celle d'un mari. Elles se dépensaient du matin au soir, effacées mais efficaces, au fond de l'atelier ou au
faîte des gerbières, à la boutique ou à la manufacture. Si l'ouvrière percevait un maigre salaire, l'épouse d'un artisan ne devait se contenter que de vagues mercis. La fille de ferme, quant à elle, connaissait plus les réprimandes que les compliments. Il y avait aussi le ménage à tenir, les enfants à élever, le quotidien à gérer avec parcimonie, toutes ces taches indispensables, mais tellement banales, qu'on finissait par ne plus les voir. Il y a les rêves perdus, les grandes tristesses et les joies, les gestes qui se perpétuaient de génération en génération... C'est en confident que Gérard Boutet a écouté ces vénérables grand-mères. Leurs souvenirs évoquent un hier où elles n'étaient que des gamines confiantes dans la vie qui se présentait à elles.