Mejores no hay !

Par : Denise Bellon, Henry Miller

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  • Nombre de pages92
  • PrésentationRelié
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions22,3 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-36339-017-2
  • EAN9782363390172
  • Date de parution23/10/2012
  • ÉditeurFinitude Editions
  • TraducteurGeorges Belmont
  • PréfacierFrédéric Jacques Temple
  • PostfacierEric Le Roy

Résumé

Quand, début 1953, Henry Miller arrive en France, il n'a pas revu le vieux continent depuis les années trente. Parmi les amis qu'il veut absolument revoir, il y a, Joseph Delteil, qui vit avec sa femme Caroline près de Montpellier. Les retrouvailles ont lieu début mai. Miller est accompagné de la séduisante Eve, qu'il vient d'épouser, de la soeur de celle-ci, Louise, et de son mari, le peintre israélien Bezalel Schatz.
Les Delteil sont en train de préparer un petit séjour en Espagne et invitent les deux couples à se joindre à eux. La photographe Denise Bellon fait aussi partie du voyage. C'est donc à deux voitures que la joyeuse bande se lance dans un périple à travers L'Espagne franquiste. Barcelone, Valence, Alicante, Grenade, Séville, Cordoue, Tolède, Madrid, Saragosse... Henry Miller prend des notes, tandis que Denise Bellon photographie l'amicale équipée.
Dès son retour en Californie, à Big Sur, Miller écrit le récit de ce voyage, qu'il intitule Mejores no Hay !, que l'on peut traduire par Y'a pas mieux !, ce qui donne une idée de la tournure joyeuse de l'aventure. Miller imagine alors de publier ce texte avec les photos prises par Denise Bellon. Le livre ne se fera pas. Ou plutôt si, soixante ans plus tard, le voilà.
Quand, début 1953, Henry Miller arrive en France, il n'a pas revu le vieux continent depuis les années trente. Parmi les amis qu'il veut absolument revoir, il y a, Joseph Delteil, qui vit avec sa femme Caroline près de Montpellier. Les retrouvailles ont lieu début mai. Miller est accompagné de la séduisante Eve, qu'il vient d'épouser, de la soeur de celle-ci, Louise, et de son mari, le peintre israélien Bezalel Schatz.
Les Delteil sont en train de préparer un petit séjour en Espagne et invitent les deux couples à se joindre à eux. La photographe Denise Bellon fait aussi partie du voyage. C'est donc à deux voitures que la joyeuse bande se lance dans un périple à travers L'Espagne franquiste. Barcelone, Valence, Alicante, Grenade, Séville, Cordoue, Tolède, Madrid, Saragosse... Henry Miller prend des notes, tandis que Denise Bellon photographie l'amicale équipée.
Dès son retour en Californie, à Big Sur, Miller écrit le récit de ce voyage, qu'il intitule Mejores no Hay !, que l'on peut traduire par Y'a pas mieux !, ce qui donne une idée de la tournure joyeuse de l'aventure. Miller imagine alors de publier ce texte avec les photos prises par Denise Bellon. Le livre ne se fera pas. Ou plutôt si, soixante ans plus tard, le voilà.