Médecines parallèles et cancer. Une étude sociologique
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- Nombre de pages201
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-13280-1
- EAN9782296132801
- Date de parution01/11/2010
- CollectionLogiques sociales
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce qui est communément désigné par " médecines parallèles " est une construction sociale qui, au regard d'une analyse sociohistorique, permet de rendre compte des rapports de force au sein du champ des soins de santé. A partir de cette analyse et d'une étude de terrain menée auprès de personnes touchées par le cancer et ayant recours aux " médecines parallèles ", on a cherché à dégager les usages sociaux de ces médecines, le sens qu'elles recouvrent, et les démarches dans lesquelles elles s'inscrivent (alternative, complémentaire,...). Les pratiques thérapeutiques non-conventionnelles ne peuvent être envisagées indépendamment de la pathologie qu'elles sont censées traiter (cancer), de ses représentations et de ses caractéristiques (chronicité, caractère létal) mais aussi, plus globalement, de la place qu'elles occupent dans l'univers de soins des individus. Cette étude a été financée par l'institut National du Cancer (INCa) et menée dans le cadre d'un laboratoire CNRS-EPHE (Centre National de la Recherche Scientifique et École Pratique des Hautes Études), le Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (GSRL).
Ce qui est communément désigné par " médecines parallèles " est une construction sociale qui, au regard d'une analyse sociohistorique, permet de rendre compte des rapports de force au sein du champ des soins de santé. A partir de cette analyse et d'une étude de terrain menée auprès de personnes touchées par le cancer et ayant recours aux " médecines parallèles ", on a cherché à dégager les usages sociaux de ces médecines, le sens qu'elles recouvrent, et les démarches dans lesquelles elles s'inscrivent (alternative, complémentaire,...). Les pratiques thérapeutiques non-conventionnelles ne peuvent être envisagées indépendamment de la pathologie qu'elles sont censées traiter (cancer), de ses représentations et de ses caractéristiques (chronicité, caractère létal) mais aussi, plus globalement, de la place qu'elles occupent dans l'univers de soins des individus. Cette étude a été financée par l'institut National du Cancer (INCa) et menée dans le cadre d'un laboratoire CNRS-EPHE (Centre National de la Recherche Scientifique et École Pratique des Hautes Études), le Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (GSRL).