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Denis Demarque aborde ici la question de la spécificité qui traverse l’histoire de la médecine : Les homéopathes discutent depuis deux siècles sur la valeur respective des symptômes pathognomoniques qu’ils soient objectifs, lésionnels ou subjectifs, par rapport aux signes de réaction individuelle du malade. L’excès dans un sens conduit aux recettes nominales, dans l’autre à privilégier systématiquement les symptômes subjectifs, trop souvent l’écho d’une imagination déréglée.
N’oublions pas la sagesse hippocratique. Elle n’oppose pas, elle associe la maladie, le malade et le médecin.