Écrire la douleur, le cœur brisé, l'esprit vide, puis plein – tourbillon, maelström, trou noir. Louise Chennevière laisse ses phrases courir sur la page, déferler sur le papier, sur la ponctuation qui vient briser ces vagues de mots, ces soubresauts poétiques entrecoupés de hoquets. La plume déconcerte, bouleverse. Le propos est à la fois d'une intimité folle et d'une universalité indéniable, celui de la femme qui souffre et raconte l'homme rêvé, silhouette d'encre et de fantasmes bien davantage que de chair et de sang (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/12/17/mausolee-louise-chenneviere/)
Vertiges de l'amour
Comme un rite sacré, la narratrice dresse un monuments de mots / maux afin de rompre le charme d'un amour sans fin.
Jamais la peine d'amour n'a été aussi belle !! Louise Chennevière nous entraine dans les vertiges de l'amour avec force et élégance.