Maurice Buisson, soldat normand de 1914. De l'Eure a l'Yser, août-octobre 1914

Par : Guy Moreau
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  • Nombre de pages79
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.11 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-84673-311-3
  • EAN9782846733113
  • Date de parution22/11/2018
  • ÉditeurYsec Editions
  • PréfacierF. Thullier

Résumé

Maurice Buisson, paysan dans l'Eure, est sous les drapeaux quand la Grande Guerre éclate, au 8e bataillon de chasseurs à pied. Faisant partie de l'active, il se retrouve rapidement au combat, face à un adversaire redoutable qui utilise des armes modernes comme les mitrailleuses. Il raconte dans un minuscule carnet ce qu'il vit, au jour le jour, voyant ses compagnons de combat disparaître autour de lui sous la mitraille ou les obus.
Il participe à l'héroïque défense d'Arrancy, dans la Meuse, le 23 août, son bataillon tenant douze heures face à des ennemis dix fois plus nombreux. Puis c'est la bataille de la Marne, notamment à Mondement. Il tient ensuite un secteur près de Reims. En octobre, Maurice Buisson et son 8' chasseurs partent pour la Belgique, avec la 42e DI. Il décrit ces durs moments jusqu'au 26 octobre 1914, lorsque son poignet gauche est transpercé par une balle de Mauser, à Stuivekenskerke, près de Dixmude.
Très vite évacué par bateau, depuis Dunkerque jusqu'en Bretagne, il est ensuite réformé.
Maurice Buisson, paysan dans l'Eure, est sous les drapeaux quand la Grande Guerre éclate, au 8e bataillon de chasseurs à pied. Faisant partie de l'active, il se retrouve rapidement au combat, face à un adversaire redoutable qui utilise des armes modernes comme les mitrailleuses. Il raconte dans un minuscule carnet ce qu'il vit, au jour le jour, voyant ses compagnons de combat disparaître autour de lui sous la mitraille ou les obus.
Il participe à l'héroïque défense d'Arrancy, dans la Meuse, le 23 août, son bataillon tenant douze heures face à des ennemis dix fois plus nombreux. Puis c'est la bataille de la Marne, notamment à Mondement. Il tient ensuite un secteur près de Reims. En octobre, Maurice Buisson et son 8' chasseurs partent pour la Belgique, avec la 42e DI. Il décrit ces durs moments jusqu'au 26 octobre 1914, lorsque son poignet gauche est transpercé par une balle de Mauser, à Stuivekenskerke, près de Dixmude.
Très vite évacué par bateau, depuis Dunkerque jusqu'en Bretagne, il est ensuite réformé.