Mathilde, drame. Suivi de sa parodie par Gabriel de Lurieu et Michel Masson
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.359 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-23839-5
- EAN9782343238395
- Date de parution08/07/2021
- CollectionAutrement mêmes
- ÉditeurL'Harmattan
- Directeur de publicationBarbara T. Cooper
- Directeur de publicationRoger Little
Résumé
Mathilde n'est pas la mieux connue des oeuvres d'Eugène Sue mais mérite bien qu'on la redécouvre. Ecrite en collaboration avec Félix Pyat, la pièce offre une image des dangers que représente pour la France de Louis-Philippe et Guizot l'importance accordée à l'argent et à la mobilité sociale. Le scélérat riche, pervers et froidement cynique qu'est Lugarto, métis brésilien venu s'installer dans la bonne société française, est un monstre qu'il était, et est encore, permis de condamner comme une caricature irrecevable de l'homme noir, mais qu'une bonne partie du public théâtral de l'époque prenait en haine puisqu'il représentait le règne immoral de l'argent.
D'autres choisissaient d'en rire, exagérant plus encore les traits détestables du traître pour en faire une parodie. Nous offrons le drame sérieux et sa version parodique dans ce volume ainsi que de nombreux comptes rendus.
D'autres choisissaient d'en rire, exagérant plus encore les traits détestables du traître pour en faire une parodie. Nous offrons le drame sérieux et sa version parodique dans ce volume ainsi que de nombreux comptes rendus.
Mathilde n'est pas la mieux connue des oeuvres d'Eugène Sue mais mérite bien qu'on la redécouvre. Ecrite en collaboration avec Félix Pyat, la pièce offre une image des dangers que représente pour la France de Louis-Philippe et Guizot l'importance accordée à l'argent et à la mobilité sociale. Le scélérat riche, pervers et froidement cynique qu'est Lugarto, métis brésilien venu s'installer dans la bonne société française, est un monstre qu'il était, et est encore, permis de condamner comme une caricature irrecevable de l'homme noir, mais qu'une bonne partie du public théâtral de l'époque prenait en haine puisqu'il représentait le règne immoral de l'argent.
D'autres choisissaient d'en rire, exagérant plus encore les traits détestables du traître pour en faire une parodie. Nous offrons le drame sérieux et sa version parodique dans ce volume ainsi que de nombreux comptes rendus.
D'autres choisissaient d'en rire, exagérant plus encore les traits détestables du traître pour en faire une parodie. Nous offrons le drame sérieux et sa version parodique dans ce volume ainsi que de nombreux comptes rendus.