Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La théorie de la connaissance n'est-elle qu'un procédé inventé par la philosophie idéaliste, elle-même au service de l'idéologie bourgeoise, pour...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 10 octobre
En librairie
Résumé
La théorie de la connaissance n'est-elle qu'un procédé inventé par la philosophie idéaliste, elle-même au service de l'idéologie bourgeoise, pour assurer le triomphe de la thèse du primat de la pensée sur l'être ? Est-elle par là même incompatible avec le matérialisme ? N'est-elle pas plutôt une démarche qui s'impose à la raison humaine indépendamment de tout présupposé idéologique ? Ces questions, qui seront examinées ici à partir d'une étude critique de textes d'Althusser, de Lecourt et de Marx lui-même, renvoient à la question plus générale du rapport que la philosophie entretient d'une part avec l'idéologie (et, par son intermédiaire, avec la politique), d'autre part avec les sciences. Elles conduisent en outre à un réexamen de la thèse marxiste du partage de la philosophie en deux camps : celui des matérialistes qui affirment le primat de l'être sur la pensée ; celui des idéalistes qui affirment le primat de la pensée sur l'être.