En 1948, dix-huit ans après La Peur, quatorze ans après Clochemerle, Gabriel Chevallier remet les couverts avec minutie et voracité, le temps de quelques portraits-charge : le colonel Crapouillot, un dur des durs qui " veut des morts " pour faire sérieux ; Tante Zoé dite " la Girafe ", vieille fille pétomane; Ernest Mourier, petit homme gris, as de l'homicide domestique; viennent ensuite J-M Dubois, placier en cirage d'un noir égal à celui du marché où il finit par s'épanouir, et un vieux, " le vieux ", crispé sur son or. Cela s'appelle Mascarade, aurait pu s'appeler aussi Tombons les masques! ou Ecce Homo : l'homme dans tous ses états.
En 1948, dix-huit ans après La Peur, quatorze ans après Clochemerle, Gabriel Chevallier remet les couverts avec minutie et voracité, le temps de quelques portraits-charge : le colonel Crapouillot, un dur des durs qui " veut des morts " pour faire sérieux ; Tante Zoé dite " la Girafe ", vieille fille pétomane; Ernest Mourier, petit homme gris, as de l'homicide domestique; viennent ensuite J-M Dubois, placier en cirage d'un noir égal à celui du marché où il finit par s'épanouir, et un vieux, " le vieux ", crispé sur son or. Cela s'appelle Mascarade, aurait pu s'appeler aussi Tombons les masques! ou Ecce Homo : l'homme dans tous ses états.