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Marseille, essuie tes larmes - Vivre et mourir en terre de narcotrafic

Par : Amine Kessaci

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  • PrésentationBroché
  • Poids0.236 kg
  • Dimensions14,2 cm × 20,7 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-493206-34-3
  • EAN9782493206343
  • Date de parution02/10/2025
  • ÉditeurBRUIT DU MONDE

Résumé

Amine Kessaci écrit depuis là où il vit, au coeur de la mêlée. Il parle en son nom et au nom de tous les siens. Dans une narration à la fois intime et politique, il donne une voix à celles et ceux que la République regarde à peine. Brûlé dans une voiture. C'est ainsi qu'est mort Brahim, le frère d'Amine Kessaci, militant associatif et politique des quartiers nord de Marseille. Une exécution, un corps calciné, un silence.
En attendant le procès de ceux qui ont tué son frère, Amine prend la plume. Il entame un dialogue posthume avec Brahim. Il lui écrit une longue lettre d'amour, de douleur, de révolte. Il écrit pour rétablir ce lien qu'on leur a arraché. Pour que son frère ne soit pas une statistique de plus, un fait divers de plus. Il raconte une vie. Il brosse le portrait d'un homme emporté par une trajectoire maudite.
Mais il ne s'arrête pas là. Il interroge. Comment en est-on arrivé là ? Comment le trafic de drogue a-t-il pu prendre une telle place dans nos vies, dans nos quartiers, dans nos imaginaires ? En écrivant, Amine fait entendre des vies oubliées, des histoires tues. Il ne cède ni à la condamnation aveugle ni à l'absolution facile. Il montre la complexité des existences prises dans l'engrenage. Mais surtout, il raconte les résistances : celles des habitants et habitantes qui, chaque jour, refusent de baisser les bras.
Car vivre en terre de narcotrafic, c'est parfois mourir - ; mais c'est aussi lutter pour exister, pour aimer, pour protéger, pour affirmer que la vie ici vaut autant qu'ailleurs.
Amine Kessaci écrit depuis là où il vit, au coeur de la mêlée. Il parle en son nom et au nom de tous les siens. Dans une narration à la fois intime et politique, il donne une voix à celles et ceux que la République regarde à peine. Brûlé dans une voiture. C'est ainsi qu'est mort Brahim, le frère d'Amine Kessaci, militant associatif et politique des quartiers nord de Marseille. Une exécution, un corps calciné, un silence.
En attendant le procès de ceux qui ont tué son frère, Amine prend la plume. Il entame un dialogue posthume avec Brahim. Il lui écrit une longue lettre d'amour, de douleur, de révolte. Il écrit pour rétablir ce lien qu'on leur a arraché. Pour que son frère ne soit pas une statistique de plus, un fait divers de plus. Il raconte une vie. Il brosse le portrait d'un homme emporté par une trajectoire maudite.
Mais il ne s'arrête pas là. Il interroge. Comment en est-on arrivé là ? Comment le trafic de drogue a-t-il pu prendre une telle place dans nos vies, dans nos quartiers, dans nos imaginaires ? En écrivant, Amine fait entendre des vies oubliées, des histoires tues. Il ne cède ni à la condamnation aveugle ni à l'absolution facile. Il montre la complexité des existences prises dans l'engrenage. Mais surtout, il raconte les résistances : celles des habitants et habitantes qui, chaque jour, refusent de baisser les bras.
Car vivre en terre de narcotrafic, c'est parfois mourir - ; mais c'est aussi lutter pour exister, pour aimer, pour protéger, pour affirmer que la vie ici vaut autant qu'ailleurs.