Marc Aurèle et le gouvernement de soi-même
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages138
- PrésentationBroché
- Poids0.19 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-296-96347-4
- EAN9782296963474
- Date de parution01/03/2012
- CollectionInter-National
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Marc Aurèle, empereur romain, est le dernier représentant des
philosophes grecs stoïciens. Au IIe siècle après J.-C., à une
époque où le monde connu s'identifiait à l'empire gréco-
romain, l'horizon humain dépassant le cadre de la cité antique
s'était élargi. Le philosophe stoïcien se voulait alors citoyen du
monde (cosmopolite en grec). Marc-Aurèle a laissé une oeuvre
très personnelle, les Ecrits pour soi-même, souvent appelées
Pensées, recueil d'exercices de maîtrise de soi.
Dans la tradition stoïcienne, notamment celle d'Epictète, la philosophie est une discipline de vie, un apprentissage de la sagesse, une recherche du bien. Le bonheur réside dans la maîtrise de soi et de ses émotions, dans le respect des autres et de la nature. Il a aussi cherché à appliquer ses propres préceptes et, rejetant la notion d'empereur tout puissant et tyrannique, il prône le retour à l'esprit de la République.
Il dénonce le comportement de César et se sent beaucoup plus proche de ses meurtriers, Caton et Brutus. Modèle de l'empereur équilibré, avec lui s'accomplit le projet politique de la philosophie grecque, celle de Platon et d'Aristote : le monde est dirigé par un philosophe. Aujourd'hui, cette pensée donne encore à chacun les clés d'accès d'un bonheur qui ne dépend que de nous et fournit un modèle pour les dirigeants politiques.
Dans la tradition stoïcienne, notamment celle d'Epictète, la philosophie est une discipline de vie, un apprentissage de la sagesse, une recherche du bien. Le bonheur réside dans la maîtrise de soi et de ses émotions, dans le respect des autres et de la nature. Il a aussi cherché à appliquer ses propres préceptes et, rejetant la notion d'empereur tout puissant et tyrannique, il prône le retour à l'esprit de la République.
Il dénonce le comportement de César et se sent beaucoup plus proche de ses meurtriers, Caton et Brutus. Modèle de l'empereur équilibré, avec lui s'accomplit le projet politique de la philosophie grecque, celle de Platon et d'Aristote : le monde est dirigé par un philosophe. Aujourd'hui, cette pensée donne encore à chacun les clés d'accès d'un bonheur qui ne dépend que de nous et fournit un modèle pour les dirigeants politiques.
Marc Aurèle, empereur romain, est le dernier représentant des
philosophes grecs stoïciens. Au IIe siècle après J.-C., à une
époque où le monde connu s'identifiait à l'empire gréco-
romain, l'horizon humain dépassant le cadre de la cité antique
s'était élargi. Le philosophe stoïcien se voulait alors citoyen du
monde (cosmopolite en grec). Marc-Aurèle a laissé une oeuvre
très personnelle, les Ecrits pour soi-même, souvent appelées
Pensées, recueil d'exercices de maîtrise de soi.
Dans la tradition stoïcienne, notamment celle d'Epictète, la philosophie est une discipline de vie, un apprentissage de la sagesse, une recherche du bien. Le bonheur réside dans la maîtrise de soi et de ses émotions, dans le respect des autres et de la nature. Il a aussi cherché à appliquer ses propres préceptes et, rejetant la notion d'empereur tout puissant et tyrannique, il prône le retour à l'esprit de la République.
Il dénonce le comportement de César et se sent beaucoup plus proche de ses meurtriers, Caton et Brutus. Modèle de l'empereur équilibré, avec lui s'accomplit le projet politique de la philosophie grecque, celle de Platon et d'Aristote : le monde est dirigé par un philosophe. Aujourd'hui, cette pensée donne encore à chacun les clés d'accès d'un bonheur qui ne dépend que de nous et fournit un modèle pour les dirigeants politiques.
Dans la tradition stoïcienne, notamment celle d'Epictète, la philosophie est une discipline de vie, un apprentissage de la sagesse, une recherche du bien. Le bonheur réside dans la maîtrise de soi et de ses émotions, dans le respect des autres et de la nature. Il a aussi cherché à appliquer ses propres préceptes et, rejetant la notion d'empereur tout puissant et tyrannique, il prône le retour à l'esprit de la République.
Il dénonce le comportement de César et se sent beaucoup plus proche de ses meurtriers, Caton et Brutus. Modèle de l'empereur équilibré, avec lui s'accomplit le projet politique de la philosophie grecque, celle de Platon et d'Aristote : le monde est dirigé par un philosophe. Aujourd'hui, cette pensée donne encore à chacun les clés d'accès d'un bonheur qui ne dépend que de nous et fournit un modèle pour les dirigeants politiques.