Mandiana. La terre, les hommes

Par : Kassim Keïta
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  • Nombre de pages104
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-343-21273-9
  • EAN9782343212739
  • Date de parution08/10/2020
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierToumany Sangaré

Résumé

Mandiana, la terre, les hommes est un travail de recherche d'une trentaine d'années sur l'histoire de Mandiana, ses structures traditionnelles, son organisation économique, sociale, politique, administrative et judiciaire. Il s'agit d'une oeuvre de grande portée à la fois scientifique et historique, puisque les données, de première main, ont été fouillées, vérifiées et comparées pour écarter de l'analyse tous les biais malencontreux.
L'auteur a su distinguer les pratiques qui avaient pour but de sauvegarder et d'enraciner les coutumes établies permettant la stabilité des rapports sociaux et des institutions politiques : "Dans le Wassolon, les Sidibé avaient pour totem le moineau, la perdrix pour les Sangaré, le serpent ou la pie noire pour les Diakité. Plus loin, il nous apprend que "dans le Manden, les Keita avaient pour totem le lion, les Coulibaly, l'hippopotame.
A Sakodougou, le serpent noir ou l'oiseau noir était le totem des Sako".
Mandiana, la terre, les hommes est un travail de recherche d'une trentaine d'années sur l'histoire de Mandiana, ses structures traditionnelles, son organisation économique, sociale, politique, administrative et judiciaire. Il s'agit d'une oeuvre de grande portée à la fois scientifique et historique, puisque les données, de première main, ont été fouillées, vérifiées et comparées pour écarter de l'analyse tous les biais malencontreux.
L'auteur a su distinguer les pratiques qui avaient pour but de sauvegarder et d'enraciner les coutumes établies permettant la stabilité des rapports sociaux et des institutions politiques : "Dans le Wassolon, les Sidibé avaient pour totem le moineau, la perdrix pour les Sangaré, le serpent ou la pie noire pour les Diakité. Plus loin, il nous apprend que "dans le Manden, les Keita avaient pour totem le lion, les Coulibaly, l'hippopotame.
A Sakodougou, le serpent noir ou l'oiseau noir était le totem des Sako".