Antonio Pennacchi nous parle de la classe ouvrière en partant de quelques jours de la vie de Benassa, ouvrier mythique en tête de nombreuses luttes salariales mais pas que. Prêt à tout pour sauver son usine, ses collègues qui forment une famille pour lui. Comment en une semaine on découvre un Benassa usé par les luttes et une proposition faite par sa direction pour se débarrasser de lui... Quelle décision va t'il prendre? comment celle-ci va être prise et accepté par les autres salariés?
La première partie du livre est pour moi assez peu intéressante, on nous présente les protagonistes, leur vie tout en passant de période et histoires sans véritable logique. J'ai été bien plus emballé par la deuxième partie du livre, enfin on arrive au coeur du sujet du livre.
Le livre est bien écrit, on sent qu'Antonio Pennacchi aime ces ouvriers, il y a de la tendresse, de l'amour parfois même de la nostalgie de cette fraternité forte.
Ma note ne concerne que mon avis, je n'ai pas aimé plus ce livre que ça parce que je n'ai pas été embarquée dans cette histoire.
Mais j'ai apprécié cette page de l'histoire sociale italienne au travers de cette semaine vécue par Benassa.
Antonio Pennacchi nous parle de la classe ouvrière en partant de quelques jours de la vie de Benassa, ouvrier mythique en tête de nombreuses luttes salariales mais pas que. Prêt à tout pour sauver son usine, ses collègues qui forment une famille pour lui. Comment en une semaine on découvre un Benassa usé par les luttes et une proposition faite par sa direction pour se débarrasser de lui... Quelle décision va t'il prendre? comment celle-ci va être prise et accepté par les autres salariés?
La première partie du livre est pour moi assez peu intéressante, on nous présente les protagonistes, leur vie tout en passant de période et histoires sans véritable logique. J'ai été bien plus emballé par la deuxième partie du livre, enfin on arrive au coeur du sujet du livre.
Le livre est bien écrit, on sent qu'Antonio Pennacchi aime ces ouvriers, il y a de la tendresse, de l'amour parfois même de la nostalgie de cette fraternité forte.
Ma note ne concerne que mon avis, je n'ai pas aimé plus ce livre que ça parce que je n'ai pas été embarquée dans cette histoire.
Mais j'ai apprécié cette page de l'histoire sociale italienne au travers de cette semaine vécue par Benassa.