Malmaison et la musique. De Joséphine à Hortense

Par : Lienart
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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.368 kg
  • Dimensions18,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-35906-478-0
  • EAN9782359064780
  • Date de parution02/10/2025
  • ÉditeurLienart

Résumé

Joséphine de Beauharnais fit de son domaine de la Malmaison une demeure à la mode, un lieu de culture et de délassement pour la cour consulaire puis impériale. Mais quelle place la musique y occupait-elle et quel était le goût de Joséphine pour la musique ? Comme toute femme aristocratique d'Ancien régime, Joséphine a su acquérir une formation artistique, tant la pratique des arts s'entend comme la manifestation d'un art de vivre indissociable du bon goût et de l'élégance.
Elle jouait de la harpe et du pianoforte, et était reconnue comme une amatrice habile. La musique revêt une dimension sociale. Aussi, quand Joséphine et Bonaparte achètent Malmaison et qu'une réorganisation de l'espace intérieur est engagée, la petite galerie devient-elle une salle de réception dédiée à la musique. Pas moins de six pianos témoignent de la place de l'instrument dans la vie de Joséphine.
La musique se laissait donc entendre à Malmaison sous plusieurs registres. Le premier est celui de la rencontre personnelle de l'Impératrice avec l'instrument ; le second est celui du divertissement de salon : la musique fait partie des distractions des soirées ordinaires, avec les dames de sa maison, quelques invités choisis et ses enfants lorsqu'ils sont présents ; cette pratique, qui a toujours existé, prend de l'importance après le divorce, lorsque l'Impératrice déchue essaie de recomposer autour d'elle une société et des usages de cour.
L'ouvrage est ainsi l'occasion d'évoquer plus largement, sous la plume de conservateurs, universitaires et musicologues, les salons de musique pendant le premier Empire ou la romance au temps d'Hortense.
Joséphine de Beauharnais fit de son domaine de la Malmaison une demeure à la mode, un lieu de culture et de délassement pour la cour consulaire puis impériale. Mais quelle place la musique y occupait-elle et quel était le goût de Joséphine pour la musique ? Comme toute femme aristocratique d'Ancien régime, Joséphine a su acquérir une formation artistique, tant la pratique des arts s'entend comme la manifestation d'un art de vivre indissociable du bon goût et de l'élégance.
Elle jouait de la harpe et du pianoforte, et était reconnue comme une amatrice habile. La musique revêt une dimension sociale. Aussi, quand Joséphine et Bonaparte achètent Malmaison et qu'une réorganisation de l'espace intérieur est engagée, la petite galerie devient-elle une salle de réception dédiée à la musique. Pas moins de six pianos témoignent de la place de l'instrument dans la vie de Joséphine.
La musique se laissait donc entendre à Malmaison sous plusieurs registres. Le premier est celui de la rencontre personnelle de l'Impératrice avec l'instrument ; le second est celui du divertissement de salon : la musique fait partie des distractions des soirées ordinaires, avec les dames de sa maison, quelques invités choisis et ses enfants lorsqu'ils sont présents ; cette pratique, qui a toujours existé, prend de l'importance après le divorce, lorsque l'Impératrice déchue essaie de recomposer autour d'elle une société et des usages de cour.
L'ouvrage est ainsi l'occasion d'évoquer plus largement, sous la plume de conservateurs, universitaires et musicologues, les salons de musique pendant le premier Empire ou la romance au temps d'Hortense.
Versalia N° 29/2026
Lienart
Grand Format
35,00 €