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  • Nombre de pages215
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.237 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-35087-409-8
  • EAN9782350874098
  • Date de parution18/05/2017
  • ÉditeurHéloïse d'Ormesson
  • TraducteurCatherine Eyjólfsson

Résumé

A la croisée de la comédie dramatique et de l'humour noir, Maîtresses femmes propose une exploration cocasse du rôle de la femme dans nos sociétés. Amours d'enfance, maternité, pouvoir, Steinunn Sigudardottir, poétique et narquoise, manie son sujet avec une audace virevoltante et une insolence mutine, à l'image de son héroïne. Volcanique ! Lors d'un voyage à Clermont-Ferrand, où elle participe à un congrès, Maria Holm, vulcanologue islandaise à la réputation internationale, croise Gemma.
Contre toute attente, la belle italienne lui fait des avances. Résolument hétérosexuelle, Marie l'éconduit. Quelques jours plus tard, Gemma surgit à la terrasse du même café parisien. La poursuit-elle ? Gemma l'intrépide veut-elle la séduire ou a-t-elle d'autres desseins ? S'en suit un enchainement de conséquences inattendues.
A la croisée de la comédie dramatique et de l'humour noir, Maîtresses femmes propose une exploration cocasse du rôle de la femme dans nos sociétés. Amours d'enfance, maternité, pouvoir, Steinunn Sigudardottir, poétique et narquoise, manie son sujet avec une audace virevoltante et une insolence mutine, à l'image de son héroïne. Volcanique ! Lors d'un voyage à Clermont-Ferrand, où elle participe à un congrès, Maria Holm, vulcanologue islandaise à la réputation internationale, croise Gemma.
Contre toute attente, la belle italienne lui fait des avances. Résolument hétérosexuelle, Marie l'éconduit. Quelques jours plus tard, Gemma surgit à la terrasse du même café parisien. La poursuit-elle ? Gemma l'intrépide veut-elle la séduire ou a-t-elle d'autres desseins ? S'en suit un enchainement de conséquences inattendues.

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5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
RECOMMANDÉ PAR CULTURE-CHRONIQUE
Voilà un roman qui va surprendre. “Maîtresses femmes” est une oeuvre à la fois déstabilisante - pour les hommes - et stimulante - pour les femmes. L’écrivain islandais, Steinunn Sigudardottir, nous propose une fable bien de notre époque où le désir et la sexualité féminine se taillent la part de la lionne. Maria Holm est une vulcanologue islandaise, une sommité dans son domaine, qui se rend en France pour un congrès de vulcanologie. Dans l’avion entre Reykjavik et Paris elle croise Gemma , une belle italienne qui ne va pas tarder à lui faire des avances. Maria qui se pense positivement hétérosexuelle refuse d’abord les propositions de l’envoutante italienne puis finit par lui céder à Paris. Ceux qui imaginent qu'il s'agirait d’une oeuvre polissonne où la froide islandaise serait dégelée par la brûlante méditerranéene en seront pour leurs frais car “Maîtresses femmes” est bien plus qu’un long glissement vers une autre sexualité. Gemma ne va pas seulement séduire Anna, elle va lui révéler une vision de l’avenir des femmes dans la société tout à fait originale. Certes les hommes en prennent pour leur grade mais il faut reconnaître que beaucoup de ses arguments font mouche. “ Je n’étais pas vieille quand je me suis rendu compte que les hommes sont, au meilleur des cas, un fardeau pour les femmes et au pire, de vraies bêtes féroces pour quelques unes, et ce dans le monde entier. Tout a concordé quand j’ai commencé d’y voir clair. Les hommes sont des destructeurs. Ils violent femmes et enfants, font mourir des millions d’hommes dans des fours à gaz et les goulags. Ils anéantissent la nature, les forêts vierges comme les hauts plateaux islandais, ils empoisonnent le monde et remplissent terres et mers de déchets, radioactifs au besoin. Ils se comportent comme si nous avions un jeu de planètes à notre disposition, où déménager quand nous aurons définitivement bousillé notre terre. Et cette heure approche.” Les desseins de Gemma vont évidemment bien au delà de son seul désir pour Maria Holm. Ce roman truffé de pointes d’humour et de sarcasmes bien sentis se montre tout à fait rafraichissant. La rencontre entre les deux femmes offre une méditation passionnante sur des thématiques qui se concentrent sur la vie des femmes et la place qu’elles occupent dans la société. “Maîtresses femmes” est bien plus qu’un roman, c’est une oeuvre à la fois poétique et profondément philosophique qui vaut vraiment les heures de lecture que vous lui consacrerez. Apolline SEGRAN (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Voilà un roman qui va surprendre. “Maîtresses femmes” est une oeuvre à la fois déstabilisante - pour les hommes - et stimulante - pour les femmes. L’écrivain islandais, Steinunn Sigudardottir, nous propose une fable bien de notre époque où le désir et la sexualité féminine se taillent la part de la lionne. Maria Holm est une vulcanologue islandaise, une sommité dans son domaine, qui se rend en France pour un congrès de vulcanologie. Dans l’avion entre Reykjavik et Paris elle croise Gemma , une belle italienne qui ne va pas tarder à lui faire des avances. Maria qui se pense positivement hétérosexuelle refuse d’abord les propositions de l’envoutante italienne puis finit par lui céder à Paris. Ceux qui imaginent qu'il s'agirait d’une oeuvre polissonne où la froide islandaise serait dégelée par la brûlante méditerranéene en seront pour leurs frais car “Maîtresses femmes” est bien plus qu’un long glissement vers une autre sexualité. Gemma ne va pas seulement séduire Anna, elle va lui révéler une vision de l’avenir des femmes dans la société tout à fait originale. Certes les hommes en prennent pour leur grade mais il faut reconnaître que beaucoup de ses arguments font mouche. “ Je n’étais pas vieille quand je me suis rendu compte que les hommes sont, au meilleur des cas, un fardeau pour les femmes et au pire, de vraies bêtes féroces pour quelques unes, et ce dans le monde entier. Tout a concordé quand j’ai commencé d’y voir clair. Les hommes sont des destructeurs. Ils violent femmes et enfants, font mourir des millions d’hommes dans des fours à gaz et les goulags. Ils anéantissent la nature, les forêts vierges comme les hauts plateaux islandais, ils empoisonnent le monde et remplissent terres et mers de déchets, radioactifs au besoin. Ils se comportent comme si nous avions un jeu de planètes à notre disposition, où déménager quand nous aurons définitivement bousillé notre terre. Et cette heure approche.” Les desseins de Gemma vont évidemment bien au delà de son seul désir pour Maria Holm. Ce roman truffé de pointes d’humour et de sarcasmes bien sentis se montre tout à fait rafraichissant. La rencontre entre les deux femmes offre une méditation passionnante sur des thématiques qui se concentrent sur la vie des femmes et la place qu’elles occupent dans la société. “Maîtresses femmes” est bien plus qu’un roman, c’est une oeuvre à la fois poétique et profondément philosophique qui vaut vraiment les heures de lecture que vous lui consacrerez. Apolline SEGRAN (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
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