Maîtresse d'esthètes

Par : Willy [jean De Tinan]
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions12,1 cm × 19,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-87673-206-8
  • EAN9782876732063
  • Date de parution01/05/1995
  • CollectionDix-neuvième
  • ÉditeurChamp Vallon

Résumé

Publié en 1897 sous la signature de Willy, Maîtresse d'Esthètes est un roman à clefs qui, avec autant de brio que d'ironie, nous propose une galerie de personnages représentatifs de certains milieux littéraires et artistiques du Symbolisme : le Théâtre de l'Œuvre, le Mercure de France, le Sâr Péladan, Colette, Willy lui-même, etc. Tout cela à travers l'histoire du " collage " du sculpteur Franz Brotteaux avec une jeune esthète frottée de littérature symboliste et de musique wagnérienne, Ysolde Vouillard, dont le tempérament ardent menace de ruiner la santé de son amant. Celui-ci est sauvé in extremis par un ami, qui l'expédie à la campagne, tout en s'occupant, non sans mal, d'écarter Ysolde. Pour qui le fit de nos jours, Maîtresse d'Esthètes reste, par-delà les faits bien réels dont s'est inspiré l'auteur, un texte étourdissant et plein de drôlerie. La grande désinvolture du style n'empêche que le livre soit mené tambour battant et que l'intérêt n'y faiblisse jamais. Remarquable évocation, pleine de vie, de certains milieux symbolistes, qui s'y trouvent épinglés avec tous leurs excès et leurs tics, ce roman ne doit pas être lu comme une caricature gratuite, mais au contraire comme un roman de mœurs, qui donne la mesure des dons d'observation et d'ironie de son auteur.
Publié en 1897 sous la signature de Willy, Maîtresse d'Esthètes est un roman à clefs qui, avec autant de brio que d'ironie, nous propose une galerie de personnages représentatifs de certains milieux littéraires et artistiques du Symbolisme : le Théâtre de l'Œuvre, le Mercure de France, le Sâr Péladan, Colette, Willy lui-même, etc. Tout cela à travers l'histoire du " collage " du sculpteur Franz Brotteaux avec une jeune esthète frottée de littérature symboliste et de musique wagnérienne, Ysolde Vouillard, dont le tempérament ardent menace de ruiner la santé de son amant. Celui-ci est sauvé in extremis par un ami, qui l'expédie à la campagne, tout en s'occupant, non sans mal, d'écarter Ysolde. Pour qui le fit de nos jours, Maîtresse d'Esthètes reste, par-delà les faits bien réels dont s'est inspiré l'auteur, un texte étourdissant et plein de drôlerie. La grande désinvolture du style n'empêche que le livre soit mené tambour battant et que l'intérêt n'y faiblisse jamais. Remarquable évocation, pleine de vie, de certains milieux symbolistes, qui s'y trouvent épinglés avec tous leurs excès et leurs tics, ce roman ne doit pas être lu comme une caricature gratuite, mais au contraire comme un roman de mœurs, qui donne la mesure des dons d'observation et d'ironie de son auteur.