La musique qui inspire Pauline Delabroy-Allard pour écrire les premiers poèmes de ce recueil imprègne ses vers, rythme ses mots tantôt doux, tantôt durs, entre douleur tenue à distance, "nostalgie-chienlit", et bonheur simple de se rappeler qu'être en vie c'est aussi la caresse de l'herbe humide sous ses pieds, les jolies surprises de l'aube et de l'amour, le pincement permanent de la tendresse maternelle, les œufs à la coque et les "dimanches bourgeois" (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/04/09/maison-taniere-pauline-delabroy-allard/)
La douceur-douleur de vivre
La musique qui inspire Pauline Delabroy-Allard pour écrire les premiers poèmes de ce recueil imprègne ses vers, rythme ses mots tantôt doux, tantôt durs, entre douleur tenue à distance, "nostalgie-chienlit", et bonheur simple de se rappeler qu'être en vie c'est aussi la caresse de l'herbe humide sous ses pieds, les jolies surprises de l'aube et de l'amour, le pincement permanent de la tendresse maternelle, les œufs à la coque et les "dimanches bourgeois" (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/04/09/maison-taniere-pauline-delabroy-allard/)