Prix Nobel de Littérature
Mais que va-t-il devenir, ce garçon ?
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.14 kg
- Dimensions13,0 cm × 18,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-02-009979-9
- EAN9782020099790
- Date de parution01/03/1988
- CollectionCadre vert
- ÉditeurSeuil
- TraducteurEliane Rosenberg
Résumé
Dans ce récit purement autobiographique, Heinrich Böll évoque avec sobriété, précision et humour, ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage se pose et se repose, tel un leitmotiv, " Mais que va-t-il devenir, ce garçon?", quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates; le 30 janvier 1933 qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937 qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un " élève de la vie". Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'"école de la rue", celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort.
Dans ce récit purement autobiographique, Heinrich Böll évoque avec sobriété, précision et humour, ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage se pose et se repose, tel un leitmotiv, " Mais que va-t-il devenir, ce garçon?", quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates; le 30 janvier 1933 qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937 qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un " élève de la vie". Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'"école de la rue", celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort.