La main "creuse le noir", évide un espace où la voix se brise dans le cri, rythme et démesure le réel, approche au plus près de ce qui la nie, avance vers la dimension tragique et menacée de l'autre. Elle tresse le tissu rompu d'une vie désassemblée déconstruite, elle en dévoile l'incertitude.
La main "creuse le noir", évide un espace où la voix se brise dans le cri, rythme et démesure le réel, approche au plus près de ce qui la nie, avance vers la dimension tragique et menacée de l'autre. Elle tresse le tissu rompu d'une vie désassemblée déconstruite, elle en dévoile l'incertitude.