Mai 68 dans l'Indre

Par : Bruno Mascle
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  • Nombre de pages128
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.35 kg
  • Dimensions21,0 cm × 27,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-36975-096-3
  • EAN9782369750963
  • Date de parution20/04/2018
  • ÉditeurLa Bouinotte
  • PréfacierLéandre Boizeau

Résumé

Tout a commencé dans la boue de la fac de Nanterre. Le 22 mars 68, une centaine d'étudiants investit le sommet de la tour administrative. Pour réclamer l'accès à la cité universitaire des filles, dit-on. Mais surtout pour dynamiter la société patriarcale du "grand Charles". Il faudra un mois de bouillonnement pour que naisse "Mai 68". Les Berrichons observent le mouvement, partagés entre curiosité et méfiance.
Dans l'Indre, peu d'étudiants, pas d'amphis occupés. Mai 68 va se faire dans les usines, les cours d'écoles et derrière les banderoles syndicales. D'abord timidement, en réaction à la répression des manifs. Puis résolument, pour l'amélioration des conditions de travail et des salaires. L'espoir grandit, jusqu'à hisser le drapeau rouge sur la gare de Châteauroux… Bruno Mascle dresse la chronique de cette période où tout semblait possible.
Ils étaient délégués syndicaux, écoliers, ouvrières ou farouches opposants à la "Chienlit". Tous témoignent d'un printemps qui a presque tout changé.
Tout a commencé dans la boue de la fac de Nanterre. Le 22 mars 68, une centaine d'étudiants investit le sommet de la tour administrative. Pour réclamer l'accès à la cité universitaire des filles, dit-on. Mais surtout pour dynamiter la société patriarcale du "grand Charles". Il faudra un mois de bouillonnement pour que naisse "Mai 68". Les Berrichons observent le mouvement, partagés entre curiosité et méfiance.
Dans l'Indre, peu d'étudiants, pas d'amphis occupés. Mai 68 va se faire dans les usines, les cours d'écoles et derrière les banderoles syndicales. D'abord timidement, en réaction à la répression des manifs. Puis résolument, pour l'amélioration des conditions de travail et des salaires. L'espoir grandit, jusqu'à hisser le drapeau rouge sur la gare de Châteauroux… Bruno Mascle dresse la chronique de cette période où tout semblait possible.
Ils étaient délégués syndicaux, écoliers, ouvrières ou farouches opposants à la "Chienlit". Tous témoignent d'un printemps qui a presque tout changé.