Madame Vigée-Le Brun
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- Nombre de pages341
- PrésentationBroché
- Poids0.475 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,5 cm × 3,1 cm
- ISBN2-262-00006-9
- EAN9782262000066
- Date de parution01/09/1994
- ÉditeurPerrin
Résumé
Elisabeth Vigée-Le Brun (1755-1842) demeure sans doute la plus illustre des artistes françaises. Véritable prodige, à 13 ans, elle fait son premier portrait, conseillée par Joseph Vernet et par Greuze. A 21 ans, elle est déjà célèbre. A 23 ans, elle est appelée à Versailles pour peindre Marie-Antoinette dont elle sera, jusqu'en 1789, la portraitiste attitrée et à laquelle, ardente royaliste, elle vouera une fidélité sans faille. A 28 ans, elle est admise à l'Académie royale de peinture. Jolie, courtisée, admirée, elle reçoit toute la haute société qui se presse pour la voir peindre dans son atelier. Mariée à Le Brun, marchand de tableaux cupide et louche, elle le quitte en 1789 pour émigrer. Au fil de douze années d'émigration, les souverains et les cours d'Europe vont la fêter et solliciter son talent, tant sa réputation est européenne. On la célèbre à Rome, à Naples (où elle peint sa fameuse Lady Hamilton en bacchante), à Vienne, à Saint-Pétersbourg, " sa dernière patrie ", à Berlin. Partout, elle croule sous les commandes. Ses tableaux, son urbanité, sa délicatesse en font la meilleure ambassadrice de l'Ancienne France. En 1802, radiée de la liste des émigrés, elle revient à Paris où, amère, elle ne retrouve pas l'art de vivre et la société qui avaient enchanté sa jeunesse. Infatigable, elle se rend à Londres où elle peint Byron et le prince de Galles, puis en Suisse où elle rencontre et peint Mme de Staël en Corinne, un de ses chefs-d'œuvre. C'est la vie d'une " vedette " européenne que reconstitue Inès de Kertanguy, à l'aide de ses Souvenirs (1835-1837).
Elisabeth Vigée-Le Brun (1755-1842) demeure sans doute la plus illustre des artistes françaises. Véritable prodige, à 13 ans, elle fait son premier portrait, conseillée par Joseph Vernet et par Greuze. A 21 ans, elle est déjà célèbre. A 23 ans, elle est appelée à Versailles pour peindre Marie-Antoinette dont elle sera, jusqu'en 1789, la portraitiste attitrée et à laquelle, ardente royaliste, elle vouera une fidélité sans faille. A 28 ans, elle est admise à l'Académie royale de peinture. Jolie, courtisée, admirée, elle reçoit toute la haute société qui se presse pour la voir peindre dans son atelier. Mariée à Le Brun, marchand de tableaux cupide et louche, elle le quitte en 1789 pour émigrer. Au fil de douze années d'émigration, les souverains et les cours d'Europe vont la fêter et solliciter son talent, tant sa réputation est européenne. On la célèbre à Rome, à Naples (où elle peint sa fameuse Lady Hamilton en bacchante), à Vienne, à Saint-Pétersbourg, " sa dernière patrie ", à Berlin. Partout, elle croule sous les commandes. Ses tableaux, son urbanité, sa délicatesse en font la meilleure ambassadrice de l'Ancienne France. En 1802, radiée de la liste des émigrés, elle revient à Paris où, amère, elle ne retrouve pas l'art de vivre et la société qui avaient enchanté sa jeunesse. Infatigable, elle se rend à Londres où elle peint Byron et le prince de Galles, puis en Suisse où elle rencontre et peint Mme de Staël en Corinne, un de ses chefs-d'œuvre. C'est la vie d'une " vedette " européenne que reconstitue Inès de Kertanguy, à l'aide de ses Souvenirs (1835-1837).